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Au Sommaire :

  • Grève Air France : encore 30% de vols annulés mercredi
  • Privatisation d’Alitalia : Lufthansa la plus prometteuse ?
  • Air Caraïbes part à San Francisco et Tahiti avecFrench bee
  • Wow Air lance une offre low cost long-courrier pour les voyageurs d’affaires
  • Un Toulon – Anvers avec TUI fly
  • Swiss affiche +1,9% au premier trimestre
  • Turkish Airlines renforce son Paris – Istanbul
  • ADP réceptionne « Roméo », dans la zone Cargo de l’aéroport Paris-Orly

Grève Air France : encore 30% de vols annulés mercredi

Air journal du 18/04/2018

La compagnie aérienne Air France prévoit d’assurer 70% des vols programmés ce mercredi, neuvième jour de grève à l’appel de l’intersyndicale réclamant une augmentation générale de 6%. Le long-courrier sera moins affecté qu’hier.
Pour la journée du 18 avril 2018, la compagnie nationale française prévoit d’assurer 70% des vols long-courriers, 55% des vols moyen-courriers de et vers Paris-Charles de Gaulle, et 80% des vols court-courriers dans les aéroports de Paris-Orly et de province. Des retards et des annulations de dernière minute ne sont pas à exclure, Air France rappelant que seuls les vols opérés par ses avions et ceux de Joon sont affectés par la grève, pas ceux de la filiale régionale HOP! ni ceux effectués en partage de codes par d’autres compagnies comme KLM ou Delta Air Lines.
L’impact de ce neuvième jour de grève depuis le 22 février est donc similaire à celui de mardi, avec plus de vols long-courrier opérés mais moins de vols moyen-courrier à CDG. Air France estime le taux de grévistes « sur les salariés engagés et soumis à la loi Diard » à 31,1% des pilotes (29,6% hier) ; 22,4% des personnels navigants commerciaux (20,4% hier) ; et 13,8% des personnels au sol (12,4% hier). Les mesures commerciales habituelles sont en place, dont la possibilité de report sans frais, quel que soit le tarif.
Rappelons que la compagnie de l’alliance SkyTeam fait encore face à deux autres journées de grève, les lundi 23 et mardi 24 avril, des dates supplémentaires pouvant être annoncées jeudi. Aucun accord avec les syndicats n’a été trouvé malgré les avancées annoncées hier des deux côtés du conflit. Air France a donné jusqu’à vendredi midi à l’intersyndicale pour signer son projet d’accord, qui prévoit une hausse de salaire de 2% en 2018 et 5% de plus les trois années suivantes si les résultats suivent, tandis qu’en face l’exigence d’une augmentation générale des salaires a été ramenée à 5,1% dès cette année. On retiendra parmi les réactions au projet d’accord de la direction celle du SNPNC, pour qui le pacte de croissance (les 5% d’augmentation sur trois ans sous conditions de résultats) revient à : « si vous travaillez bien, beaucoup même et que vous faites plein d’efforts pour financer le développement de TRANSAVIA, JOON, et de la future LOW COST, alors, peut-être que vous aurez droit à 1.65% » – sans préciser de quelle future low cost il s’agit.
Les grèves auraient déjà coûté 220 millions d’euros à la compagnie aérienne.

Privatisation d’Alitalia : Lufthansa la plus prometteuse ?

Air journal du 17/04/2018

Un ministre italien a déclaré que l’offre du groupe allemand Lufthansa était la plus prometteuse dans le processus de vente de la compagnie aérienne Alitalia, devant celles déposées par easyJet et Wizz Air.
Alors que les administrateurs de la compagnie nationale italienne ont de nouveaurepoussé la décision sur sa vente à l’automne sans plus de précisions, le ministre italien du Développement économique Carlo Calenda a déclaré dans La Repubblica que la proposition de Lufthansa est considérée comme « objectivement la plus prometteuse ». Il avait déjà bien accueilli l’annonce d’un assouplissement de la position du groupe allemand, qui souhaitait initialement supprimer 6000 des 8400 postes de la branche aviation d’Alitalia. Les médias italiens évoquent un chiffre ramené à 4000, et le maintien de l’activité long-courrier. Alitalia « reste fragile et a besoin d’un partenaire. Il y a la possibilité de travailler sur les offres et d’arriver à une solution structurelle qui ne coûte pas plus aux citoyens », a précisé le ministre.
Trois offres ont été déposées à ce jour pour la reprise d’Alitalia, dont deux confirmées : celle de Lufthansa qui a soumis un document décrivant ses idées pour une « nouvelle Alitalia restructurée », et celle de la low cost easyJet qui a de son côté déposé une « manifestation d’intérêt revue pour une Alitalia restructurée, dans le cadre d’une alliance » (avec le fonds américain Cerberus et la compagnie aérienne Delta Air Lines selon les rumeurs, comme pressenti depuis le début de l’année quand le groupe Air France-KLM, partenaire de coentreprise et d’alliance de la compagnie américaine, faisait l’objet de plusieurs informations sur des consultations – et les démentait). La low cost hongroise Wizz Air, qui disait en début d’année s’intéresser à l’activité court-courrier d’Alitalia, a refusé de commenter les dernières rumeurs la nommant comme troisième candidate.
Si on attend toujours la formation d’un gouvernement italien, la Ligue et le M5S (qui disposent du plus grand nombre de sièges au parlement) ont évoqué leur souhait de conserver « l’italianité d’Alitalia » quel que soit le repreneur choisi.

Air Caraïbes part à San Francisco et Tahiti avec French bee

Air journal du 17/04/2018

La compagnie aérienne Air Caraïbes propose à partir du mois prochain les vols entre Paris, San Francisco et Tahiti opérés par la low cost long-courrier French bee, filiale comme elle du Groupe Dubreuil.
La compagnie antillaise spécialiste des Caraïbes a annoncé le 17 avril 2018 la mise en place d’un accord de codeshare avec sa compagnie sœur, French bee, pour offrir des liaisons transatlantiques vers l’aéroport de San Francisco aux Etats-Unis. Cette desserte sera opérée à partir du 11 mai avec l’Airbus A350-900 de la low cost long-courrier, configuré pour accueillir 35 passagers en classe Premium et 376 en Economie (411 sièges au total). Air Caraïbes souligne dans son communiqué que les passagers disposeront « des dernières technologies embarquées : écrans tactiles HD, prises PC et USB, ainsi que du wifi en option », et propose aux clients « un pont d’or vers la Californie », à partir de 438 €* TTC A/R (ce tarif proposé par Air Caraïbes inclut systématiquement le repas et un bagage de 23 kg en soute – tarif Smart)
Rappelons que les départs de French bee vers San Francisco sont programmés à Paris-Orly mercredi, vendredi et dimanche à 19h15 pour arriver à 21h25 (durée de vol 11h10) ; les vols retour quittent la Californie lundi, jeudi et samedi à 20h45 pour se poser le lendemain à 16h20 (durée de vol 10h35). Entre ces deux trajets, l’A350-900 de French bee continue sa route jusqu’à Tahiti ; la rotation du mercredi n’est assurée qu’en haute saison.
Le même accord de partage de codes permet depuis juin 2017 aux passagers d’Air Caraïbes de rejoindre Saint-Denis de la Réunion dans l’Océan Indien, French bee proposant un vol aller-retour quotidien en basse saison et jusqu’à 10 vols par semaine en haute saison. Les passagers ayant acheté leur billet d’avion chez Air Caraïbes et adhérant au programme de fidélité Préférence de la compagnie, ont la possibilité de cumuler des miles sur les trois lignes opérées en codeshare avec French bee, et de les convertir par la suite en billets prime.

Wow Air lance une offre low cost long-courrier pour les voyageurs d’affaires

Les Echos du 17/04/2018

Après s’être imposée sur les lignes transatlantiques grâce à ses prix cassés et son escale à Reykjavik, la compagnie islandaise Wow Air s’attaque au marché des voyageurs d’affaires.
Après avoir conquis les touristes avec ses vols transatlantiques à partir de 129 euros, Wow Air s’attaque à un nouveau marché : les voyageurs d’affaires. La compagnie low cost islandaise, créée en 2011 , s’apprête à franchir une nouvelle étape de son développement, en offrant à bord de ses Airbus A330 et A321, une nouvelle classe affaires long-courrier au prix d’appel de 449 euros l’aller simple pour un Paris-New York. Soit 50 % à 60 % de moins que les meilleurs tarifs des compagnies traditionnelles.
« Grâce à nos tarifs attractifs, nous avons commencé déjà à attirer une bonne proportion de voyageurs d’affaires soucieux de faire des économies et nous avons de plus en plus de demande pour notre offre premium « Big seat », explique Skuli Mogensen, le fondateur de la compagnie. Et cela dans un contexte où les prix des classes affaires ne cessent d’augmenter, assure-t-il. « Nous y avons vu l’occasion de faire évoluer notre modèle, en proposant un service différent de celui des compagnies traditionnelles, au meilleur rapport qualité-prix possible ».

Un siège affaire et un service tout inclus
Le nouveau siège affaires CL4400 du fabricant allemand Recaro sera ainsi progressivement installé d’ici à la fin de l’année sur les 20 appareils de la compagnie. Et s’il ne peut être comparé à ceux des meilleures classes affaires (ni position allongée ni système vidéo), son niveau de confort est comparable à celui des classes affaires des vols intérieurs américains. De plus, contrairement aux plus bas tarifs de Wow Air, le service à bord, les repas et les bagages enregistrés sont inclus. Et il est même possible de modifier son vol.

Reykjavik, nouveau hub transatlantique
De quoi bousculer encore un peu plus le marché des liaisons transatlantiques déjà passablement chahuté par l’arrivée en force d’autres compagnies low cost. Dans le cas de Wow Air, les passagers au départ de Paris-CDG et de Lyon doivent tous faire escale et même changer d’avion à Reykjavik . Afin de réduire les coûts, la compagnie a en effet imaginé de transformer la capitale islandaise, idéalement située à mi-chemin entre l’Europe et l’Amérique du Nord, en plaque-tournante du trafic transatlantique. Elle propose à ses 2,8 millions de passagers – dont 60 % effectuent des vols transatlantiques – des stop-overs sans frais en Islande.

Des A320 pour des vols long-courriers
Cette escale permet non seulement à Wow Air de multiplier les destinations en correspondance, en croisant les horaires de ses 14 destinations aux Etats-Unis et au Canada avec ceux de ses 19 destinations européennes. Mais encore elle confère une possibilité unique : celle de pouvoir opérer toutes ses lignes long-courriers avec des appareils ordinairement réservés aux vols moyen-courriers. Sur les 18 appareils de la flotte tout Airbus de Wow Air, 15 sont en effet des A320 et A321neo, nettement moins coûteux à louer et à exploiter que les appareils long-courriers. « Grâce à leurs coûts réduits, les A321 neo nous permettent d’ouvrir des destinations peu desservies en transatlantique, comme Detroit, St Louis, Cleveland et Cincinnati », explique le patron de Wow Air. Mais aussi de doubler la desserte de New York-Newark par des vols sur New-York-JFK dès le 26 avril.

Des A330-900 pour ouvrir l’Asie
Face à la croissance de son trafic, en hausse de 69 % en 2017, à 2,8 millions de passagers (dont 280.000 en France), Wow Air a néanmoins dû voir plus grand, en s’équipant d’appareils plus gros. Aux trois premiers Airbus A330-300 s’ajouteront 7 appareils supplémentaires, dont quatre A330-900 à long rayon d’action, équipés de 365 sièges. Le premier, encore en cours d’assemblage à Toulouse, sera livré en fin d’année. « Grâce à ces A330, nous annoncerons bientôt nos premières destinations asiatiques », indique Skuli Mogensen.

5 millions de passagers en 2019
De quoi ouvrir de nouveaux horizons. « Cette année, nous devrions frôler les 4 millions de passagers et atteindre les 5 millions l’an prochain, poursuit le patron de Wow. Mais quand on voit que Finnair a réussi à atteindre 16 millions de passagers en connectant l’Europe à l’Asie, cela nous laisse encore beaucoup de marge de croissance ». Et ce sans sacrifier la rentabilité et sans avoir à ouvrir le capital, toujours détenu à 100 % par Skuli Mogensen. « Nous sommes rentables depuis le début, souligne-t-il. Et Wow est aujourd’hui la plus grande compagnie au monde contrôlée à 100 % par un seul homme », se plaît-il à souligner.

Un Toulon – Anvers avec TUI fly

Air journal du 17/04/2018

La compagnie aérienne TUI fly lancera cet été une nouvelle liaison entre Toulon et Anvers, l’aéroport varois étant également relié à Varsovie en vols charters. Pour un total de 9 nouvelles destinations au départ du Var.
Du 28 juin au 1er octobre 2018, la compagnie belge proposera des vols lundi et jeudi entre Toulon-Hyères et l’aéroport d’Anvers, opéré en Embraer 190 de 112 places. Les départs sont programmés à 20h20 pour arriver à 22h05, les vols « retour » quittant la Belgique à 17h50 pour se poser à 19h35. TUI fly sera sans concurrence sur cette route proposée à partir de 48,99 euros TTC l’aller simple.
Les Belges « se rendent régulièrement dans notre région pour y passer leurs vacances, mais également lors de week-ends prolongés », déclare dans un communiqué le gestionnaire de l’aéroport de Toulon Vinci Airports ; « premier département touristique de France après Paris, le Var séduit toujours plus à l’international. La clientèle belge dispose de nombreuses résidences secondaires sur le territoire et profite ainsi du climat méditerranéen tout au long de l’année ». « Le sud de la France intéresse de plus en plus de Belges et ceux-ci n’hésitent pas à s’y rendre plusieurs fois par an (…).Nous sommes persuadés que la nouvelle ligne Anvers-Toulon sera très appréciée par le public. En outre, nous offrons aux Français du sud une excellente possibilité de visiter les merveilleuses villes d’art flamandes telles qu’Anvers, Gand ou Bruges », explique de son côté Gunther Hofman, Managing Director de TUI fly Benelux. La compagnie dessert déjà Toulon au départ de Brest et de Charleroi.
Toulon-Hyères accueillera d’autre part cet été des vols charter de TUI Poland en provenance de Varsovie, opérés par Ryanair Sun en Boeing 737-800 de 189 sièges. Le vendredi du 25 mai au 5 octobre, l’appareil décollera de Pologne à 17h30 pour arriver à 20h05, et repartira à 20h40 pour se poser à 23h15. Les Polonais « pourront eux aussi découvrir notre magnifique territoire grâce au tour-opérateur TUI Poland », déclare Vinci Airports, l’aéroport Toulon Hyères disposant en effet « d’un emplacement idéal pour les vacanciers, qui veulent profiter à la fois des stations balnéaires de la Côte d’Azur, mais également s’évader dans l’arrière-pays provençal ».
Ce sont donc bien 9 destinations supplémentaires (avec Roissy Charles-de-Gaulle, Lille, Strasbourg, Copenhague, Genève, Oran et Alger) qui sont confirmées sur la plateforme varoise pour 2018, soit 17 destinations directes au total. Rappelons qu’il est aussi desservi par HOP! et Air France, ASL Airlines France, Flybe, SAS Scandinavian Airlines, Swiss, Transavia Holland et Volotea.

Swiss affiche +1,9% au premier trimestre

Air journal du 18/04/2018

La compagnie aérienne Swiss International Airlines (hors Edelweiss Air) a transporté 3.730.131 passagers au premier trimestre 2018, un résultat en hausse de 1.9% par rapport à la même période l’année dernière. Le nombre de vols effectués a baissé de 2,5% à 32.380 vols sur la même période.
Pour une offre en SKO (sièges-kilomètres offerts) en hausse de 2,6%, le trafic de la compagnie nationale suisse (exprimé en passagers-kilomètres transportés, PKT) a progressé de 3,0% durant les trois premiers mois de l’année 2018. Le coefficient d’occupation des sièges est en hausse de 0,3 point de pourcentage, atteignant 77.9% en moyenne pour la période de janvier à mars 2018.
Pendant le seul mois de mars 2018, la filiale du groupe Lufthansa et membre de Star Alliance a accueilli 1.410.605 passagers, un trafic en hausse de 5,2%. Le nombre de vols effectués (11.428 au total) a baissé de 2.2% en comparaison annuelle. Le trafic (PKT) a simultanément progressé de 8.3% pour une offre (SKO) en hausse de 3,0% ; le coefficient d’occupation est en hausse de 4,0 points de pourcentage à 82.7%.
Au départ des aéroports de Zurich, Genève et Lugano, les 90 avions de Swiss transportent chaque année environ 17 millions de passagers vers plus de 100 destinations dans 43 pays. Sa division fret Swiss WorldCargo propose par ailleurs un large éventail de solutions de transports d’aéroport à aéroport, tout particulièrement destinées à des objets de valeur ou nécessitant une surveillance constante. Son réseau comprend environ 130 destinations aériennes dans plus de 80 pays.
En 2017, Swiss et ses quelque 8800 collaborateurs ont réalisé un chiffre d’affaires d’environ 5 milliards de francs.

Turkish Airlines renforce son Paris – Istanbul

Air journal du 18/04/2018

La compagnie aérienne Turkish Airlines est passée depuis dimanche de 35 à 38 vols par semaine entre Paris-CDG et Istanbul, afin de répondre à la forte demande à l’approche de la saison estivale.
Depuis le 15 avril 2018, la compagnie nationale turque propose en plus des cinq rotations quotidiennes trois vols supplémentaires entre sa base à Istanbul-Atatürk et l’aéroport de Paris-Charles de Gaulle, opérés en Boeing 737-800 bi-classe. Ces nouvelles fréquences décollent lundi, vendredi et dimanche à 14h05 pour arriver à 16h50, et repartent de Paris à 17h45 pour se poser à 22h10. Turkish Airlines est en concurrence sur cet axe avec Air France Joon, Atlas Global et Onur Air (à CDG) ; elle propose aussi une rotation quotidienne entre l’aéroport Sabiha Cokcen et CDG, face à la low cost Pegasus Airlines (entre Sabiha Gokcen et Orly).
La compagnie de Star Alliance dessert également en France Bordeaux, Lyon, Marseille, Nice et Toulouse. Elle propose plus de destinations que n’importe quelle autre compagnie dans le monde, avec 303 destinations au départ d’Istanbul.
Turkish Airlines rappelle qu’elle a lancé en octobre dernier son offre « Bosphorus Experience ». Elle s’adresse aux passagers voyageant en classe Affaires disposant de 7 heures ou plus d’escale à Istanbul. Cette clientèle bénéficie d’un tarif privilégié « pour une prestation incluant une croisière privative, ainsi qu’une dégustation des spécialités culinaires ottomanes dans le cadre d’un petit déjeuner, d’un déjeuner ou d’un dîner servi dans un hôtel 5 étoiles. Cette excursion permet aux voyageurs de profiter de la vue imprenable sur le Bosphore et d’admirer les sites historiques à proximité tels que la tour de Léandre ou le palais de Dolmabahçe ».
Fondée en 1933 avec une flotte de cinq avions seulement, Turkish Airlines opère une flotte de 330 avions (passagers et fret) desservant 254 destinations internationales et 49 domestiques.

ADP réceptionne « Roméo », dans la zone Cargo de l’aéroport Paris-Orly

Immoweek du 17/04/2018

Le Groupe ADP, en tant qu’aménageur et investisseur, a réceptionné le parc d’activités « Roméo », dans la zone « Cargo » de l’aéroport Paris-Orly.
Cet ensemble, développé par Quartus, développe 22 000 m2, répartie en deux tranches de 11 000 m2 :
une tranche dite « Cargo-grande activité », avec des bâtiments directement connectés en PCZSAR (Parties Critiques de la Zone Sûreté à Accès Réglementé) proposant 9 300 m² de locaux d’activités (ateliers, entrepôts, etc.) et 1 700 m² de bureaux. La divisibilité est possible dès 1 100 m² ;
une tranche dite » petite activité » proposant 8 200 m² de locaux d’activités et 2 800 m² de bureaux dédiés aux PME/PMI, divisibles à partir de 300 m².
Un parking de 224 places véhicules légers et 10 places poids lourds assure le stationnement de la zone.
« A ce jour, près de la moitié de surfaces du parc « Roméo » a déjà fait l’objet de prises de bail par des preneurs issus du monde aéronautique et du pôle économique d’Orly-Rungis » précise ADP…