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Au Sommaire :

  • Aéroport de La Réunion : trafic record au premier semestre
  • L’aéroport de Nice lance la reconnaissance faciale
  • Aéroport de Bruxelles : 12 millions de passagers au 1er semestre
  • Les défis de l’augmentation du trafic aérien
  • Air France, KLM, China Southern et Xiamen Airlines consolident leur rapprochement
  • EasyJet passe à 1000 lignes en Europe

 

Aéroport de La Réunion : trafic record au premier semestre

Air-Journal.fr – 17 Juillet 2018

Après un nouveau record mensuel enregistré en juin, l’activité de l’aéroport de Saint Denis-Roland Garros au premier semestre a atteint le niveau inégalé de 1.124.293 passagers, en progression de 11,1% par rapport la même période l’an dernier.

Au terme des six premiers mois de l’année 2018, le trafic a fait un bond de 20,6% sur l’axe métropole – Réunion. Près de 652 000 passagers ont été transportés par les cinq compagnies opérant sur ces routes, soit 110 000 voyageurs de plus que l’année précédente. Les lignes entre les aéroports parisiens et Roland Garros (dont Air France depuis Orly) représentent 92% de l’activité, et leur fréquentation a progressé de 16% en un an. La plus forte hausse concerne la route Marseille-Réunion (+175%), sur laquelle Air Austral a rejoint XL Airways France en octobre dernier et qui représente aujourd’hui 6% du trafic métropole-Réunion (1% pour les vols au départ de Lyon, 1% pour ceux décollant de Toulouse).

Le trafic de transit participe à la croissance globale, avec plus de 26 000 passagers (+54,4%) essentiellement comptabilisés sur les vols de Corsair International entre Orly et les îles de l’océan Indien, et sur ceux d’Air Madagascar entre Tananarive et la Chine via Saint-Denis.

Le trafic régional enregistre pour sa part un recul de 1,9% au premier semestre, avec des évolutions contrastées. Le nombre de passagers diminue sur Maurice (–2,2%), les Seychelles (–5%) et l’Afrique du Sud (–22,2%), il progresse en revanche sur Mayotte (+0,4%), Madagascar (+0,4%) et les Comores (+21,7%). Une légère baisse est également constatée sur le long-courrier international (–2,1%), sous l’effet de la diminution du trafic vers la Thaïlande (–6%) et l’Inde (–2,3%). Inversement, le nombre de passagers est en hausse de 18,6% sur la Chine, ligne ouverte en février 2017.

Dans le domaine du fret, l’activité a été dynamique au cours des six premiers mois de l’année, avec une progression de 15,4% des tonnages (+15% à l’import, +16,7% pour les marchandises embarqués).

Pour le seul mois de juin, le trafic progresse de 7,4%, atteignant le niveau record de 171.870 passagers, malgré une baisse de 11,1% du nombre de passagers en transit. L’activité est en hausse de 9,7% sur l’axe métropole-Réunion, en ce mois anniversaire de l’arrivée de la low cost long-courrier French Bee, alors French Blue, sur le marché le 17 juin 2017. L’influence du cinquième transporteur « est perceptible sur le trafic, qui a progressé de 14,2% au cours de la première quinzaine, mais de 6,4% seulement au cours de la seconde, après le début des opérations de la compagnie l’an passé ». Il est également à noter qu’XL Airways a temporairement suspendu son activité sur La Réunion de la mi-mai à la mi-juin.

Après deux mois consécutifs de baisse, le trafic régional repart de l’avant (+4,4%), grâce aux progressions enregistrées sur Maurice (+6%), Mayotte (+16%), les Comores (+90,8%) et les Seychelles (+4,5%). Le nombre de passagers s’inscrit en revanche à la baisse entre La Réunion et les aéroports malgaches (–9,8%) et sur Johannesburg (–20%). Sur le long-courrier international, le trafic augmente sur la Thaïlande (+15,9%) et l’Inde (+9,9%) mais recule de 22,1% sur la ligne Réunion-Guangzhou (Canton, Chine).

Enfin, le trafic de marchandises a progressé de 5,2% en juin, tendance constatée aussi bien sur le fret import (+5,8%) que sur le fret export (+3%).

L’aéroport de Nice lance la reconnaissance faciale

Air-Journal.fr – 17 Juillet 2018

L’aéroport de Nice-Côte d’Azur a mis en service les premiers sas PARAFE – Passage Rapide Automatisé aux Frontières Extérieures – à reconnaissance faciale.

Les quatre premières e-gates de l’aéroport niçois ont commencé à fonctionner vendredi 6 juillet 2018, dans les 4 zones de contrôle aux frontières situées aux départs et aux arrivées non-Schengen de chacun de ses terminaux. Dans un premier temps, un seul site, aux départs du Terminal 2, sera accessible aux passagers pour une période d’un mois correspondant à des essais opérationnels ; à l’issue de cette période, le déploiement sera étendu à l’ensemble des autres terminaux. A terme, 16 sas seront installés aux arrivées comme aux départs de Nice-Côte d’Azur.

Pour faire face à l’augmentation du trafic et au renforcement des contrôles aux frontières, l’Aéroport Nice Côte d’Azur explique dans un communiqué avoir pris la décision d’investir dans une technologie innovante au service de ses passagers : des bornes de contrôles automatisées d’identité via une technologie de reconnaissance biométrique. Ces sas fonctionneront avec un système nativement dédié à la reconnaissance faciale, et permettront aux passagers majeurs originaires de l’Union Européenne et porteurs d’un passeport biométrique, de réduire le temps passé habituellement lors des contrôles manuels. Cette nouvelle technologie, tout juste validée par la Direction Générale des Etrangers en France (DGEF – Ministère de l’Intérieur) va donc « permettre d’augmenter significativement le débit de contrôle et de réduire par voie de conséquence les temps d’attente ».

Dominique Thillaud, Président du Directoire d’Aéroports de la Côte d’Azur, souligne que l’enjeu est « évidemment de réduire les temps d’attente aux contrôles pour nos passagers, sans aucun compromis sur la sécurité aux frontières. Un objectif poursuivi de pair avec la Police aux Frontières, que je remercie pour son implication dans la solution retenue, la plus adaptée : celle mise en œuvre par IN Groupe et Gunnebo ».

IN Groupe, spécialiste mondial de l’identité biométrique régalienne, s’est associé à Gunnebo, leader mondial de solutions et de services de sécurité, pour livrer ces sas automatiques de passage aux frontières (eGates) embarquant cette technologie biométrique de dernière génération. En augmentant la sécurité tout en fluidifiant le passage des voyageurs aux frontières, ce système, d’ores et déjà opérationnel, améliore la satisfaction de tous et, en premier lieu, des passagers.

L’Aéroport Nice Côte d’Azur est le « deuxième aéroport de France après Paris », avec 13.3 millions de passagers en 2017, 117 destinations directes et 54 compagnies aériennes régulières desservant 40 pays. En dehors de Paris, il est aussi le seul aéroport français – hors Paris – à proposer 4 destinations long courrier en vols réguliers (Dubaï, New York, Montréal et Doha) et à accueillir l’A380 en vol quotidien. Le Groupe Aéroports de la Côte d’Azur gère les aéroports Nice-Côte d’Azur, Cannes-Mandelieu et Golfe de Saint-Tropez, et se positionne ainsi au 2ème rang en Europe en matière de trafic Aviation d’Affaires. Premier groupe européen d’assistance à l’Aviation d’Affaires en 2017 à travers son réseau « Sky Valet », il est également présent à Paris-Le Bourget, dans toute l’Espagne ainsi qu’au Portugal.

Aéroport de Bruxelles : 12 millions de passagers au 1er semestre

Air-Journal.fr – 16 Juillet 2018

L’aéroport de Bruxelles-Zaventem a vu son trafic passager progresser de 4,0% en juin, et dépasser les caps symboliques des 12 millions de passagers au premier semestre et des 25 millions sur douze mois. C’est surtout le trafic long-courrier qui augmente fortement, suite notamment à l’arrivée de nouvelles compagnies et de nouvelles destinations.

Brussels Airport enregistre un record absolu de passagers au premier semestre de 2018, puisque 12.064.634 passagers ont pris des vols ou atterri dans l’aéroport de la capitale de Belgique, soit une croissance de 4,4% et un demi-million de passagers de plus par rapport à la même période de l’an dernier. Le nombre de passagers locaux à l’embarquement a augmenté de 4,7%, soit légèrement plus que le nombre de passagers en transfert (+3,2%). Cette « belle hausse » est principalement due à l’augmentation du trafic long-courrier, à l’arrivée de nouvelles compagnies (Cathay Pacific, Georgian Airways), aux nouvelles destinations vers l’Asie (Shanghai, Shenzhen et Hong Kong) et à l’ajout de vols vers Dubaï. A noter également la forte reprise des vols charters vers la Turquie, l’Egypte et la Tunisie.

En glissement annuel (juillet 2017-juin 2018), Brussels Airport a également enregistré un record en accueillant 25,3 millions de passagers, franchissant pour la première fois le cap symbolique des 25 millions de passagers.

En juin 2018, Brussels Airport a accueilli 2.313.894 passagers, soit une hausse de 4% par rapport à juin 2017. C’est la troisième fois de l’année que le nombre de passagers dépasse la barre des 2 millions de passagers par mois. Le nombre de passagers locaux a cru de 6,6% durant le dernier mois alors que le nombre de passagers en transfert a diminué de 5,4%. Ceci s’explique selon le communiqué de l’aéroport par « de meilleures ventes pour les voyageurs locaux, tandis que l’année dernière, des sièges vides ont dû être remplis par des passagers en transfert ». La reprise rapide des destinations de vacances en Turquie, Egypte et Tunisie contribue également à cette hausse des passagers locaux. Enfin, on note un certain nombre d’annulations des vols européens de Brussels Airlines suite à des problèmes techniques, avec pour conséquence des passagers replacés sur d’autres vols.

Ensemble, les compagnies long-courriers affichent une croissance de 15% par rapport au mois de juin de l’an dernier, principalement grâce aux nouveaux vols et aux plus hautes fréquentations vers l’Asie et la région du Golfe. Le segment des vacances connait aussi une belle progression en juin avec notamment les vols de TUI fly et de Corendon Airlines.

Côté cargo, au premier semestre 2018, Brussels Airport a transporté 6,9% de fret de plus qu’au premier semestre 2017. La baisse du volume du transport tout-cargo (-7,9%) est à imputer au départ ou au désengagement de certaines compagnies aériennes de transport tout-cargo, en raison du durcissement des normes sonores de la Région de Bruxelles-Capitale au début de l’année 2017. Cette baisse est compensée au premier semestre 2018 par une forte augmentation du fret à bord des avions passagers (+18,4%) et du fret par camion (+22,8%).

En juin 2018, le transport de fret à Brussels Airport a fortement augmenté de 14,6% par rapport à juin 2017, ceci grâce à nouveau à la forte croissance du segment full cargo (+14,3%) et du transport à bord de vols commerciaux (+24,3%) avec de nouvelles routes et de nouveaux vols de Hainan, Emirates et Cathay Pacific. Le fret aérien a augmenté (+9,9 %). Les exportations poursuivent leur croissance (+11%), pour moitié vers l’Asie, mais ce sont surtout les importations (+24%), principalement en provenance d’Afrique, d’Amérique du Nord et d’Asie, qui effectuent un sérieux bond en avant.

Le fret par camion affiche une spectaculaire hausse de 29 % par rapport au même mois de l’an dernier. Ce qui signifie que nous transportons plus de marchandises vers les aéroports d’Amsterdam, Frankfort, Luxembourg et Paris que ce que nous chargeons dans les vols passagers à Bruxelles. Cela montre également la force de la plateforme logistique cargo mais aussi le besoin de capacité supplémentaire pour satisfaire cette demande.

Au cours du premier semestre, il y a eu 114.112 mouvements d’avions, soit une diminution de 1,8% par rapport au premier semestre 2017. Les vols passagers ont baissé de 2,9% à 97.639 mouvements. Au seul mois de juin, on a dénombré au total 21.000 mouvements de vols (cargo et passagers), soit une baisse de 2,4% par rapport à la même période l’an dernier. Côtés passagers, le nombre de mouvements de vols a baissé de 3%, principalement à cause des annulations techniques chez Brussels Airlines. En raison de cette baisse, mais aussi de la mise en service de plus grands appareils et d’un meilleur taux d’occupation, le nombre de passagers par vol est passé de 119 en juin 2017 à 128 en juin 2018, soit une hausse de 7,5%.

Les défis de l’augmentation du trafic aérien

LeFigaro.fr – 17 Juillet 2018

Alors que s’est ouvert lundi le salon aéronautique de Farnborough, les acteurs économiques de l’aviation doivent relever le défi d’une augmentation massive du trafic aérien jusqu’en 2030.

Le patron de Boeing Denis Muilenberg a évalué dimanche à 43.000 les besoins en nouveaux avions dans les 20 ans à venir. Airbus de son côté ne comptabilise pas les avions de moins de 100 sièges et planche plutôt sur 33.070 nouveaux appareils. Alors que s’est ouvert ce lundi le salon aéronautique de Farnborough en Grande-Bretagne, cette annonce n’est pas anodine et témoigne de l’explosion actuelle du trafic aérien. Celle-ci est un véritable défi pour l’ensemble du secteur aéronautique qui risque de ne pas pouvoir prendre en charge un flux toujours plus important de passagers.

Un trafic aérien en pleine croissance

Les raisons de cette augmentation du trafic aérien sont multiples. La principale est la croissance économique et démographique, particulièrement dans les pays en voie de développement. De plus en plus importante, la classe moyenne stimule l’activité des compagnies aériennes. Avec une croissance économique mondiale de 3% par an d’ici à 2035 selon le FMI, le trafic aérien devrait progresser de 4,5 à 6% chaque année sur la même période.

L’autre raison de cette croissance du transport aérien est l’urbanisation du monde. Les aéroports ont besoin, pour se développer, de s’installer à proximité de métropoles. Or celles-ci se multiplient et grandissent de plus en plus, fournissant de nouveaux clients potentiels aux compagnies aériennes d’après Elizabeth Gasiarowski-Denis pour le magazine ISOfocus.

Une pénurie de pilotes qui inquiète les compagnies aériennes

Il y a encore dix ans, aucune compagnie aérienne ne pensait devoir faire face à une pénurie de pilotes pour ses avions de ligne. Pourtant l’augmentation du trafic aérien nécessite le recrutement de nouveaux commandants de bord, qui se trouvent, de fait, de plus en plus courtisés. Boeing et Airbus sont les premiers à avoir tiré la sonnette d’alarme, alertés par leurs carnets de commandes. Aujourd’hui l’Organisation de l’aviation civile internationale (OACI) prévoit qu’il faudra former 620.000 nouveaux pilotes dans les dix prochaines années.

Afin de relever ce défi, les compagnies aériennes comptent sur leurs propres formations. Air France, par exemple, a rouvert l’année dernière sa «filière cadet» grâce à laquelle la compagnie veut former 100 nouveaux pilotes chaque année. Face à cette pénurie, l’enjeu n’est pas seulement de former des pilotes mais aussi de les fidéliser. Or la concurrence entre les compagnies aériennes fait rage. La Chine notamment recrute à tour de bras, proposant parfois des salaires dépassant les 300.000 euros par an.

Des infrastructures aéroportuaires inadaptées

Du côté des aéroports, la croissance du trafic aérien se fait aussi ressentir. Malgré les agrandissements et les rénovations, ceux-ci peinent à s’adapter à l’augmentation du nombre de passagers. Aujourd’hui la plupart des aéroports sont trop petits et gênent les compagnies aériennes dans leurs activités. Alexandre de Juniac, directeur général de l’IATA (Association du transport aérien international) déclarait la semaine dernière: «nous allons devoir faire face à une crise des infrastructures qui affectera directement les voyageurs aériens». Pour résoudre cette crise, l’ex-président du directoire d’Air France/KLM plaide pour des investissements massifs: «J’appelle les décideurs politiques européens à prendre des mesures urgentes afin d’éviter une crise des infrastructures».

Un enjeu de taille pour l’économie mondiale

L’aéronautique représente aujourd’hui 3,5% du PIB mondial et 62,7 millions d’emplois directs et indirects. Selon l’étude annuelle du Airport Council International (ACI), 4,1 milliards de personnes ont pris l’avion en 2017. Dans un article publié dans la revue PSE Working Papers (2016), l’économiste François Bourguignon explique que «le transport aérien est à la fois un catalyseur et un indicateur du développement économique». C’est pourquoi il paraît plus que nécessaire, pour la croissance économique mondiale, de relever le défi du boom du trafic aérien.

Air France, KLM, China Southern et Xiamen Airlines consolident leur rapprochement

QuotidienDuTourisme.com – 16 Juillet 2018

Air France, KLM, China Southern Airlines et Xiamen Airlines ont fusionné leurs accords de « joint-venture » existants. L’objectif est de renforcer davantage les liens entre les quatre compagnies.

En connectant les réseaux des quatre compagnies, la « joint-venture » offre aux clients un choix plus important de destinations reliant l’Europe (Paris et Amsterdam) à la Chine (Beijing, Chengdu, Guangzhou, Hangzhou et Xiamen). Les temps de transfert et de correspondance sont également optimisés.

Les clients d’Air France-KLM peuvent également gagner des miles Flying Blue en volant sur tous les vols opérés dans le cadre de cette joint-venture.

De plus cet accord renforce la présence d’Air France-KLM sur le marché aérien chinois, qui continue de croître. Chaque année, les quatre compagnies transportent environ 1 250 000 passagers entre l’Europe et la Chine sur leurs routes opérées en commun.

Au-delà de la joint-venture, les compagnies coopèrent étroitement dans d’autres domaines, notamment en ce qui concerne l’assistance en aéroport, le catering et la maintenance des appareils. Par exemple, Air France-KLM Engineering & Maintenance s’est vu confier l’entretien des moteurs de la flotte de Boeing 787 de Xiamen Airlines. Egalement, des coopérations plus étroites sont discutées dans d’autres domaines, tel que la maintenance des avions, ou l’exploitation du fret.

Rappelons que cette « joint-venture » existe depuis 2006 avec l’accord entre KLM et China Southern sur la liaison Amsterdam-Pékin. En 2015, Xiamen Airlines a rejoint le duo sur la ligne Amsterdam-Xiamen. En 2010, Air France s’est alliée à China Southern pour également former une joint-venture sur la ligne Paris-Guangzhou. Aujourd’hui, ces accords sont réunis pour former une unique « joint-venture » entre l’Europe et la Chine.

EasyJet passe à 1000 lignes en Europe

TourMag.com – 16 Juillet 2018

EasyJet pari sur Bordeaux et y ouvre sa 1000ème ligne en Europe.

Et de 1000 ! EasyJet ouvre une ligne Bordeaux – Mérignac.

La liaisons démarrera le 2 novembre 2018 à raison de 2 vols par semaine, le lundi et vendredi, et ce jusqu’au 29 mars 2019.

Cette nouvelle ligne est la 1000ème d’easyJet en Europe, et la 32ème au départ de Bordeaux.

Reginald Otten, directeur général adjoint d’easyJet en France, a commenté : « Nous sommes fiers de franchir le cap des 1000 lignes aujourd’hui à Bordeaux. Nous prévoyons une croissance de la capacité de 23,1% sur cette nouvelle base ».

Ouverte le 28 mars 2018, la base easyJet de Bordeaux-Mérignac ajoute à la capacité de la compagnie 2 vols supplémentaires vers Lille et Nice et 4 vers Marseille.

Les lignes saisonnières vers Tel Aviv et Faro seront désormais assurées toute l’année, et Luxembourg pour satisfaire les voyageurs d’affaires.

EasyJet prévoit d’accroitre ses fréquences de vols et capacités pour l’hiver 2018/2019 à hauteur de 6,8 millions de sièges, soit +8,4% par rapport à l’hiver dernier.