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Au Sommaire :

  • Prix du billet d’avion en France : +0,7% en mars
  • Aéroport de Tahiti : trafic en hausse au premier trimestre
  • L’aéroport d’Atlanta reste le plus fréquenté au monde
  • L’accès à Internet va devenir une réalité sur les volseuropéens
  • Ryanair part à l’abordage du transport charter avec « Ryanair Sun » !

Prix du billet d’avion en France : +0,7% en mars

Air-Journal.fr – 17 Avril 2018

Les statistiques mensuelles de la DGAC montrent que la hausse des prix des billets d’avion au départ de France mesurée en février se poursuit en mars, avec +0,7% par rapport au même mois l’année dernière, une augmentation portée par le réseau court et moyen-courrier et par l’Amérique du Nord en long-courrier. Au cumul sur le 1er trimestre 2018, les prix au départ de France diminuent très légèrement (-0,4%).

En mars 2018, les prix au départ de métropole augmentent de 0,7%, mais diminuent encore légèrement au départ des départements d’outre-mer (-0,6%). Au départ de métropole, la hausse mesurée sur le réseau international est provoquée par le renchérissement des destinations européennes, tandis que l’outre-mer tire les prix vers le bas sur le réseau intérieur. Les prix des billets d’avion sont globalement stables sur le réseau domestique (-0,4%), partagés entre une hausse sur les liaisons intra-métropolitaines (+2,6%) et une forte baisse vers l’outre-mer pour le 3e mois consécutif (-7,7%). Au 1er trimestre 2018, la baisse des prix sur le réseau domestique au départ de métropole s’établit à 2,4 %.

La hausse se poursuit sur le réseau international (+1,1% entre mars 2017 et mars 2018, et +0,4% au 1er trimestre). Les prix des billets d’avion sont encore en nette augmentation sur le réseau international moyen-courrier (+4,9 % au départ de métropole), du fait du renforcement de la hausse vers les pays de l’EEE et Suisse (+9,4% entre mars 2017 et mars 2018) et malgré la baisse importante mesurée vers l’Afrique du Nord-Levant (-4,5%). Au 1er trimestre, les prix des billets d’avion ont augmenté de 2,6% sur le réseau moyen-courrier. Le réseau international long-courrier bénéficie quant à lui d’une baisse des prix de 1,4% en mars, malgré la poursuite de la hausse vers l’Amérique du Nord (+1,6%). Les prix sont en effet significativement en baisse entre mars 2017 et mars 2018 vers toutes les autres destinations long-courriers : -5,3% vers l’Amérique latine, -2,6% vers l’Afrique, -1,7% vers l’Asie-Pacifique et -1,3% vers le Moyen-Orient. Toutefois, les évolutions ayant été fluctuantes en ce début d’année, la baisse des prix n’est que de 0,8% sur le réseau international long-courrier au 1er trimestre 2018.

Au départ des départements d’outre-mer, la baisse mesurée depuis le début de l’année s’atténue et masque de forts contrastes entre les départements (-0,6% entre mars 2017 et mars 2018, et -3,2% au 1er trimestre). Les prix des billets d’avion diminuent encore au départ de la Réunion (-7,6%) pour le 11e mois consécutif, mais moins spectaculairement qu’en février dernier (-10,8% au 1er trimestre 2018). A l’inverse, ils augmentent fortement pour le 10e mois consécutif au départ de Guyane (+9,8% en mars et +7,2% au 1er trimestre). Depuis les Antilles, les prix augmentent au départ de Guadeloupe (+4,0% en mars après 2 mois de baisse et +0,9% au 1er trimestre) mais ils se stabilisent au départ de Martinique (-0,1% en mars et -1,1% au 1er trimestre).

Évolution m-1 : Légère baisse des prix du transport aérien au départ de France en mars malgré certaines zones encore en vacances scolaires (-0,5% entre février et mars 2018).

Au départ de Métropole, la baisse saisonnière des prix atteint 0,8%, toutes destinations confondues, sachant que le mois de mars 2018 se caractérise par la zone B encore en vacances scolaires jusqu’au 11 mars et la zone C en fin de vacances d’hiver en tout début de mois. Les prix des billets d’avion diminuent sur le réseau domestique (-1,9% entre février et mars 2018), tirés vers le bas par l’outre-mer (-10,3%) alors que les liaisons intra-métropolitaines se renchérissent légèrement (+1,1%). Le réseau international moyen-courrier est aussi globalement orienté à la hausse (+1,2%), principalement du fait de l’EEE & Suisse (+1,7%) alors que les prix des billets vers les autres pays d’Europe diminuent de 0,6% entre février et mars 2018 et qu’ils stagnent vers l’Afrique du Nord-Levant (+0,3%). Sur le réseau international long-courrier, seule l’Amérique du Nord supporte une hausse saisonnière des prix des billets d’avion (+2,8%), les autres destinations long-courriers bénéficiant de baisses comprises entre 9,1% pour le Moyen-Orient à 3% pour l’Asie-Pacifique.

Au départ des DOM considérés dans leur ensemble, les prix des billets d’avion toutes destinations confondues augmentent de 8,6% entre février et mars 2018. La hausse est particulièrement marquée depuis la Réunion qui bénéficie de 2 semaines de vacances scolaires en mars (+20,3% toutes destinations confondues). Les Antilles, avec seulement une semaine de vacances scolaires en mars, supportent des hausses saisonnières plus modérées (+3,7% au départ de la Guadeloupe et +4,6% au départ de la Martinique). En revanche, les prix des billets d’avion n’augmentent que de 0,6% au départ de Guyane entre février et mars 2018.

Aéroport de Tahiti : trafic en hausse au premier trimestre

Air-Journal.fr – 16 Avril 2018

L’aéroport de Papeete a accueilli près de 290.000 passagers pendant les trois premiers mois de l’année, avec une croissance sur l’international de 6,0% et sur les liaisons domestiques de 3,4%.

Les premiers résultats trimestriels 2018 du trafic passager affichent selon le communiqué du gestionnaire des aéroports tahitiens le même dynamisme que celui de l’an passé. A l’international, cette dynamique s’accélère de manière significative avec un taux de progression de 6% sur les 3 premiers mois de l’année, avec un mois de février marqué par une forte hausse (+12%) « en lien avec les escales de plusieurs paquebots de croisières à
Tahiti ». Côté domestique, l’aéroport de Papeete-Faa’a observe une tendance également positive, mais sur un rythme plus modéré, à l’inverse de ce qu’on avait pu observer en 2017 où le trafic local avait davantage porté la croissance que le trafic international. Au total, Faa-a aura accueilli près de 290 000 passagers sur ces 3 premiers mois de l’année, répartis de manière quasiment égalitaire entre les segments international et domestique (respectivement 49,2% et 50,8%).

ADT rappelle que « plusieurs bonnes nouvelles » ont été annoncées dans le secteur aérien polynésien pour 2018, de nouvelles compagnies aériennes ayant pris l’engagement d’ajouter la Polynésie française à leur réseau de destination tandis que d’autres, qui desservent déjà le Fenua ont décidé de renforcer leurs fréquences et leurs capacités. Ainsi, la compagnie aérienne low cost French Bee reliera Paris-Orly à Tahiti via San Francisco, à raison de 2 vols hebdomadaires à partir du 11 mai prochain avec un Airbus A350-900 de 411 sièges ; un 3ème vol sera opéré de juin à septembre 2018. Hawaiian Airlines, qui dessert aujourd’hui l’aéroport de Tahiti-Faa’a à raison d’un vol hebdomadaire depuis et vers Honolulu le samedi soir, lancera une deuxième fréquence hebdomadaire le mardi soir d’octobre à décembre. Enfin, la compagnie aérienne United Airlines lancera une nouvelle liaison régulière entre San Francisco et Tahiti 3 fois par semaine à partir du 30 octobre 2018, en utilisant un Boeing 787-8 Dreamliner de 219 sièges ; elle deviendra la 2ème compagnie sous pavillon américain à se poser à Tahiti-Faa’a, et la première à proposer un vol direct depuis le continent américain.

ADT annonce aussi qu’Air New Zealand va pérenniser sa troisième fréquence hebdomadaire sur sa ligne Auckland – Papeete, le mardi, à partir du 30 octobre. « Nul doute que le déploiement de ces nouveaux créneaux aériens suscitera l’envie de voyager davantage en 2018 à l’international », déclare le gestionnaire, pour qui il semble clair qu’une « nouvelle tendance se dégage et que la Polynésie française est en train de franchir un cap pour devenir une opportunité de destination de vacances à part entière ».

Côté pratique, le nouveau circuit Arrivées internationales de l’aéroport de Tahiti-Faa’a, après d’importants travaux d’extension et de rénovation, est désormais opérationnel et dimensionné pour accueillir simultanément 2 vols long-courriers « de niveau B conformes aux normes de confort IATA ». La cérémonie d’inauguration s’est tenue le 21 mars 2018 en présence du vice-président du gouvernement de la Polynésie française, de la
présidente du conseil d’administration d’ADT également ministre du Tourisme, du ministre de la Culture, des administrateurs d’ADT et de ses partenaires. L’ensemble des invités « a été impressionné et satisfait par le niveau de qualité que revêt le premier parcours du voyageur sur le sol polynésien dès son entrée dans le terminal
côté piste ». Une place importante est dédiée au patrimoine culturel Polynésien, avec la mise en place notamment d’une vitrine exposant plusieurs œuvres du Musée de Tahiti et des Iles et illustrant 4 thèmes : les 5 archipels, l’artisanat, la danse et l’art contemporain. Un « parcours initiatique » qui se poursuit tout au long du circuit Arrivée du passager avec plusieurs sculptures, gravures ou peintures « mises en valeur et distillées à plusieurs endroits pour une totale immersion dans la culture polynésienne ». Cette refonte du circuit Arrivées internationales a coûté 750 millions de francs cfp, financés intégralement par ADT.

On retiendra enfin qu’après plusieurs audits menés par l’autorité de surveillance de la DGAC, Aéroport De Tahiti a vu renouvelé le certificat de sécurité aéroportuaire de l’aéroport de Tahiti-Faa’a le 30 mars dernier, pour une durée de 5 ans. L’aéroport de Rangiroa est actuellement inscrit dans la même démarche, en vue d’un renouvellement de certificat en juin 2018. Les aéroports de Raiatea et Bora Bora ont vu leur certificat renouvelé en 2017.

L’aéroport d’Atlanta reste le plus fréquenté au monde

LesEchos.fr – 16 Avril 2018

Tous trafics confondus, la plate-forme aéroportuaire située dans l’Etat de Géorgie, devance celles de Pékin et Dubaï.

L’aviation civile a encore battu un record, avec 4,1 milliards de passagers transportés dans le monde en 2017 (+6,6 %) et un bond de 8,4 % pour les passagers enregistrés sur les vols internationaux. Quand les avions se posent, à qui profite cet engouement ? Comme chaque année, l’Airport Council International (ACI) a analysé les données de 1.953 aéroports en provenance de 176 pays et livre son classement provisoire.

Résultat : Hartsfield-Jackson Atlanta (Géorgie) reste sur la première place du podium pour l’année 2017 avec 104 millions de passagers, devant Pékin (96 millions) et Dubaï (88 millions).

Malgré un recul de son trafic de 0,3 % par rapport à 2016, Hartsfield-Jackson doit à son atout « proximité » de conserver son titre pour la vingtième année d’affilée. Première pour les vols intérieurs (qui totalisent près de 90 % des flux), la plate-forme aéroportuaire géorgienne présente en effet la particularité d’être à moins de deux heures de vol pour 80 % de la population américaine.

Dubaï en tête sur le trafic international
Suivent Tokyo Haneda, Los Angeles International et Chicago O’Hare. Londres Heathrow arrive 7e position, Paris Charles de Gaulle, dixième ( avec 69,5 millions de passagers en hausse de +5,4 % ), juste devant Amsterdam Schiphol, 11e avec 68,5 millions de passagers.

Pour ce qui concerne cette fois le titre de plaque tournante du trafic international, Dubaï, n° 1 mondial depuis 2014, a battu un nouveau record en 2017 avec 88,2 millions de voyageurs accueillis. La plateforme d’Emirates devance Heathrow (73 millions).

Autres sites très actifs : Hong Kong et les européens d’Amsterdam et de Paris-CDG qui se classent dans le Top 5. En revanche, les aéroports états-uniens font grise mine. De fait, le premier aéroport américain, New York JFK, ne pointe qu’à la 19e place.

Dynamisme indien

Pour trouver la relève, il faut regarder du côté de l’Inde, qui, selon les projections de l’ACI, sera le troisième marché aéroportuaire après les Etats-Unis et la Chine dès 2020. A l’aéroport de Delhi, le trafic global a bondi de 14,1 %, à 63,4 millions de passagers, ce qui a permis à Indira Gandhi International Airport de passer en un an de la 22e à 16e place et de confirmer son statut d’aéroport le plus dynamique.

Enfin, l’aéroport chinois de Guangzhou (CAN) signe une progression de 10,3 %. La deuxième croissance la plus rapide du Top 20.

L’accès à Internet va devenir une réalité sur les vols européens

LesEchos.fr – 16 Avril 2018

Les passagers des vols intra-européens de British Airways seront les premiers à essayer le réseau EAN.

Immarsat et son partenaire Deutsche Telekom peuvent commencer à commercialiser leur nouvelle offre d’internet haut débit EAN pour les vols intra-européens.
Se connecter à Internet en avion , en haut débit et qui plus est, sur un vol intra-européen sera bientôt possible. Après deux ans de formalités et préparatifs techniques, Immarsat et Deutsche Telekom ont obtenu le feu vert de l’Arcep (Autorité de régulation des communications électriques et des postes), pour lancer leur offre d’internet en vol, EAN. Le système devrait entrer en service commercial dans le courant de l’été sur les appareils de British Airways, puis sur ceux des autres filiales du groupe IAG : Vueling, Aer Lingus et Level. D’autres compagnies européennes devraient suivre au cours des prochains mois. Air France, mais aussi Easyjet, font partie des prospects d’Immarsat.

Rattraper le retard

De quoi permettre à l’Europe de rattraper son retard sur les Etats-Unis en matière de connectivité en vol. Jusqu’à présent, l’offre internet des compagnies européennes se limite en effet aux vols long-courriers, avec des débits plutôt modestes et des interruptions fréquentes. Le réseau EAN (European aviation network) est le premier en Europe à utiliser, en plus du satellite, un réseau de balises terrestres – 350 au total dans les 28 pays de l’Union ainsi qu’en Suisse et Norvège, dont 50 en France – permettant d’offrir une connexion internet en vol, comme à la maison.

Du haut débit comme à la maison

« Notre réseau est parfaitement opérationnel et délivre un débit équivalent à celui d’une connexion internet à la maison, soit entre 60 et 75 Mbps, contre 1 à 2 Mbps sur les systèmes actuellement proposés sur les vols long-courriers », explique Philip Balaam, directeur de la branche aviation d’Immarsat. De quoi permettre les mêmes usages qu’au sol (vidéo à la demande, télé-commerce, retransmission TV). Mais aussi de quoi passer d’une économie de pénurie, où l’accès à internet est rare et cher, à une utilisation beaucoup plus large, y compris sur des avions court-courriers et régionaux.

Un modèle économique à peaufiner

Reste à savoir à quel prix. « Le modèle économique de l’internet en vol – qui paye et combien – n’est pas encore figé, reconnaît Philip Balaam. Certaines compagnies vont l’offrir gratuitement et d’autres vont le faire payer… C’est une question de culture et de différenciation. Mais je pense que le modèle évoluera, comme dans l’hôtellerie, vers la gratuité au moins partielle. »

D’autant que l’enjeu d’internet en vol ne se limite au plaisir du passager. Le réseau EAN permettra aussi de transférer les millions de données générées par les avions en vol, dont les compagnies et les avionneurs ont besoin pour alimenter les algorithmes des nouveaux services de maintenance prédictive. En prévenant ainsi les pannes et en optimisant l’utilisation des avions, les compagnies peuvent espérer réaliser d’énormes économies, qui justifieraient à elles seules, l’investissement.

Ryanair part à l’abordage du transport charter avec « Ryanair Sun » !

Tourmag.com – 16 Avril 2018

Début des opérations de Ryanair Sun à la fin du mois d’avril 2018
Basée en Pologne, Ryanair Sun, nouvelle filiale charter du spécialiste irlandais du low cost, opérera par exemple des vols vers l’aéroport de Toulon-Hyères.

L’information était passée relativement inaperçue : depuis le 13 juillet 2017 une compagnie polonaise nommée Ryanair Sun est officiellement inscrite à l’Association internationale du transport aérien (IATA) sous le code RR.

Nouvelle filiale du spécialiste irlandais des vols low cost, elle devrait débuter ses activités le 26 avril 2018, depuis ses bases de Varsovie, Katowice, Poznan et Wroclaw, et prévoit de travailler avec des tour-opérateurs polonais, pour opérer partout en Europe.

15 Boeing 737-800

Contactés par nos soins, les bureaux français de Ryanair nous ont indiqué que la nouvelle filiale serait « autonome » dans son fonctionnement, sans toutefois donner plus de détails.

« Ryanair Sun, une entité autonome du groupe Ryanair, est basée en Pologne et a récemment obtenu son CTA (Certificat de transporteur aérien, ndlr) polonais et, sous réserve de recevoir la licence des Autorités de l’Aviation Civile polonaise, va bientôt lancer ses vols vers la Grèce, l’Espagne, l’Italie et d’autres destinations de vacances avec une flotte de 5 avions « , nous a fait savoir la compagnie.

D’après les quelques informations qui circulent, la nouvelle compagnie polonaise disposera à ses débuts d’une flotte de 5 Boeing 737-800.

Et d’après CH Aviation, la compagnie prévoirait déjà d’en faire voler 15 d’ici 2019.

Les premiers appareils lui ont été livrés au début de ce mois d’avril, date à laquelle Ryanair Sun a aussi obtenu son CTA.

Lancement sur Toulon le 15 mai 2018

D’après un communiqué daté du lundi 16 avril 2018, l’une des premières destinations de la nouvelle compagnie sera française.

Dès le 25 mai et pour toute la saison estivale, l’aéroport de Toulon-Hyères sera relié à Varsovie avec Ryanair Sun, pour le compte du tour-opérateur TUI Poland.

Enfin, pour faire fonctionner ses appareils, Ryanair recrute actuellement des pilotes. « En travaillant pour Ryanair Sun, vous découvrirez la culture d’une start-up, tout en bénéficiant de la sécurité d’être soutenu par la compagnie aérienne préférée en Europe », peut-on lire dans une annonce d’emploi visible en ligne.

« Ryanair Sun disposera des avions les plus récents, d’un excellent service à bord, de taux de ponctualité record, tout en offrant à ses clients les coûts par siège les plus bas du marché », y est-il aussi précisé.