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Au sommaire :  

 

  • Nouvelle vague de licenciements dans le transport aérien

  • Finnair : 1000 postes supprimés, un A350 revendu

  • La low-cost hongroise Wizz Air progresse à la faveur de la crise

  • Delta Air Lines : siège du milieu bloqué jusqu’en janvier

  • Air France : les vols Paris Orly – Brest reprendront dès le 31 août 2020

  • Port du masque : le groupe Lufthansa serre la vis

  • Transavia France repart demain vers le Maroc

 

Nouvelle vague de licenciements dans le transport aérien

LesEchos.fr – 25 Août 2020

A l’instar d’American Airlines, qui a annoncé 19.000 suppressions d’emplois, plus de la moitié des compagnies aériennes mondiales prévoient de réduire leurs effectifs dans les 12 prochains mois.

Malgré la reprise partielle du trafic, la vague des suppressions d’emplois continue de monter dans le transport aérien. Dans un message interne, American Airlines, a annoncé ce mardi à ses 140.000 salariés son intention de licencier 19.000 salariés, à compter du 1er octobre, à l’issue du moratoire sur les licenciements imposés par le pouvoir public en contrepartie des aides d’Etat.

La direction de la première compagnie américaine justifie sa décision par la nécessité de s’adapter à l’effondrement de son trafic passagers. « Aujourd’hui, c’est le message le plus difficile que nous ayons eu à partager », écrit le directeur général, Doug Parker. Environ 17.500 salariés seront mis à pied, ce qui signifie qu’ils pourraient éventuellement être réintégrés avec leur ancienneté si l’activité reprend. En revanche, quelque 1.500 postes d’encadrement seront définitivement supprimés. Ces licenciements s’ajoutent à plus de 10.000 départs volontaires.

Fin du moratoire

En avril dernier, la compagnie de Dallas s’était pourtant engagée, comme ses principaux concurrents, United et Delta, à ne pas procéder à des plans de licenciements, en contrepartie d’une aide de 12 milliards de dollars, sous forme de prêts garantis et de prêt fédéral. Mais cet engagement était valable jusqu’au 30 septembre, contrairement à l’engagement de maintenir son offre de lignes intérieures pendant au moins deux ans.

A l’époque, les pouvoirs publics américains estimaient que ce plan de soutien d’un montant total de 50 milliards de dollars, permettrait de laisser passer la crise sans destruction d’emplois. Mais contrairement aux attentes, le trafic des compagnies américaines ne s’est pas redressé et reste encore inférieur d’environ 50 % au niveau d’avant crise sur les lignes intérieures, et de 70 % sur les lignes internationales.

D’autres plans à venir

Ce plan de licenciement chez American sera probablement suivi, dans les prochains jours ou les prochaines heures, d’annonces semblables chez ses concurrents United et Delta. Selon l’agence Reuters, Delta aurait déjà décidé de licencier près de 2.000 pilotes en octobre. De son côté, United avait évoqué en avril un sureffectif de 36.000 employés.

Cette nouvelle vague de licenciement ne se limite pas aux Etats-Unis. Rien que pour cette journée de mardi, l’australienne Qantas a annoncé 2.500 suppressions de postes, en plus des 6.000 licenciements déjà décidés, Emirates et Etihad ont demandé à leurs personnels navigants de prendre jusqu’à six mois de congé sans solde et Finnair a évoqué un millier de suppressions de postes. Selon un sondage réalisé le mois dernier par l’Association du transport aérien international IATA auprès de ses adhérents, 55 % des compagnies aériennes prévoient des réductions d’effectifs dans les 12 prochains mois.

Finnair : 1000 postes supprimés, un A350 revendu

Air-Journal.fr – 26 Août 2020

La compagnie aérienne Finnair a ouvert des négociations avec les syndicats sur la suppression de 1000 postes, conséquence de la pandémie de Covid-19 et des restrictions de voyage. Elle a d’autre part conclut un accord de sale and leaseback sur un Airbus A350-900, lui rapportant plus de 100 millions d’euros de liquidités.

Les « négociations de coopération » annoncées le 25 aout 2020 par la compagnie nationale finlandaise portent sur jusqu’à 1000 de ses 6700 employés, dont environ 500 basés à l’étranger. Elles concernent environ 2800 employés travaillant chez Finnair en Finlande, et des processus similaires sont menés dans ses unités à l’étranger. « Presque tous » les employés de la compagnie basée à l’aéroport d’Helsinki-Vantaa ont été mis au chômage technique pendant une partie du printemps et de l’été, un principe qui sera maintenu par Finnair « pour une durée indéterminée ou jusqu’à nouvel ordre » parallèlement aux négociations sur les suppressions de postes.

L’objectif est selon la compagnie de l’alliance Oneworld « d’assurer la continuité des activités de base de Finnair afin que les équipages de cabine et de poste de pilotage puissent reprendre le travail progressivement dès que le marché se rétablira et que les vols pourront être augmentés ». Pour cette raison, Finnair « ne prévoit actuellement » pas de réduction permanente des effectifs de pilotes, hôtesses de l’air et stewards basés en Finlande.

Souhaitant « agir de manière responsable dans cette situation difficile », Finnair explique qu’elle soutiendra les employés concernés par le biais d’un programme social, qui comprendra un accompagnement pratique « de l’emploi à l’emploi », une formation et des conseils « sur l’esprit d’entreprise ». Ces mesures de réduction de personnel prévues sont incluses dans l’objectif de réduction permanente des coûts, « actualisé » hier de 80 à 100 millions d’euros.

La Covid-19 « est la crise la plus profonde de l’aviation. La pandémie et les restrictions de voyage exceptionnellement strictes en Finlande ont eu un impact sur la demande de vols et nous n’exploiterons qu’une petite partie de notre capacité par rapport à l’année dernière. Un tournant rapide pour le mieux dans la situation de pandémie n’est malheureusement pas en vue. Notre chiffre d’affaires a considérablement diminué et c’est pourquoi nous devons simplement ajuster nos coûts à notre nouvelle taille », a déclaré dans un communiqué le CEO de Finnair Topi Manner. « Nous voulons bâtir un avenir compétitif pour Finnair et conserver autant d’emplois que possible. De plus, nous voulons être en mesure d’offrir à l’avenir de bonnes connexions avec le monde aux Finlandais et à l’économie finlandaise. Malheureusement, cela nécessite les mesures que nous avons annoncées aujourd’hui. Le calendrier de reprise de l’aviation n’étant pas clair, notre plan est également de mettre en œuvre des mises à pied temporaires importantes pour ajuster nos ressources », a-t-il ajouté.

Autre action annoncée mardi par Finnair, la vente et cession-bail (sale and leaseback) d’un Airbus A350-900. L’accord a été finalisé avec Nomura Babcock & Brown Co. (NBB) et BBAM Aircraft Management, l’appareil livré en février dernier à NBB étant loué pour douze ans. Cela n’aura « pas d’impact majeur sur le résultat d’exploitation de Finnair pour le troisième trimestre 2020 », précise la compagnie aérienne dans un communiqué séparé, mais « l’effet cash positif immédiat » est supérieur à 100 millions d’euros. Finnair a mis en service 15 des 19 A350-900 commandés, avec deux aménagements tri-classes différents : 46+43+208, et 32+42+262.

La low-cost hongroise Wizz Air progresse à la faveur de la crise

LesEchos.fr – 24 Août 2020

La compagnie à bas coûts, déjà numéro un en Europe centrale, profite du recul de ses principaux concurrents pour ouvrir de nouvelles bases à l’Ouest et prendre des parts de marché.

De l’audace, beaucoup d’opportunisme et une gestion des dépenses à rendre fier un Harpagon : telle semble être la recette du remède anti-crise selon Wizz Air. Alors que ses principaux concurrents, y compris Ryanair, doivent revoir à la baisse leurs espoirs de reprise, la compagnie low cost hongroise a déjà retrouvé 70 % de son activité d’avant la crise et prévoit de revenir à 80 % cet hiver. Basée à Budapest, elle a même inauguré, au cours des quatre derniers mois, 200 nouvelles lignes et neuf nouvelles bases en Europe, dont la dernière à l’aéroport de Londres-Gatwick, fief d’Easyjet. Wizz Air a redéployé une partie de sa flotte sur les destinations les plus favorables, tandis que ses salariés n’ont pas été épargnés par les licenciements et les baisses de salaires.

Le favori des analystes

Wizz Air semble partie pour figurer parmi les principaux gagnants de la crise. Dans sa dernière note d’analyse, le cabinet Citi Research la place en tête de ses favoris en Europe, aux côtés de Ryanair. Selon son analyse, la compagnie hongroise, qui a déjà réussi à devenir la première compagnie en Europe centrale , est la mieux placée pour augmenter sa part de marché, en profitant du recul de ses concurrents. C’est notamment le cas à Londres-Luton et Londres-Gatwick, où Wizz Air augmente fortement son offre, tandis que celle d’Easyjet baisse.

Une base à Abu Dhabi

Profiter de la crise pour gagner du terrain, c’est aussi l’ambition affichée par son président fondateur, Jozsef Varadi. Lors de la présentation des résultats trimestriels fin juillet, il a maintenu tel quel le plan d’expansion qui prévoit de passer la flotte de 121 Airbus A320 et A321 à 201 en 2024 et 275 en 2027. Wizz Air est ainsi l’une des très rares compagnies à n’avoir procédé à aucune annulation ni report de commandes.

Le dirigeant a aussi confirmé le démarrage, le 1er octobre, d’un projet particulièrement osé : l’ouverture d’une base à Abou Dhabi. Une première pour une low cost européenne ! Depuis la capitale des Emirats Arabes Unis, Wizz Air compte desservir 11 métropoles dans dix pays, dont cinq en Europe centrale, en Airbus A321.

Un millier de navigants licencié

Comme chez Ryanair, la médaille a toutefois son revers. Si Wizz Air a réussi à générer un trafic de 40 millions de passagers sur des destinations d’Europe centrale peu ou pas desservies par les compagnies traditionnelles, c’est grâce à une gestion des coûts sans état d’âme. Avec une holding à Jersey et un patron vivant à Genève, la compagnie hongroise est aussi l’une des dernières en Europe sans syndicat.

Ce qui explique en partie la rapidité avec laquelle elle a pu licencier un millier de navigants au printemps sur 4.500, imposer une baisse des salaires de 14 % en moyenne et replacer sur des destinations nouvelles une vingtaine d’avions avec leurs équipages. Wizz air n’a pas non plus été exemplaire en matière de remboursement des vols annulés. Et, en temps ordinaire, elle est aussi la seule à faire payer les bagages en cabine. Autant de caractéristiques qui risquent de moins bien passer à l’ouest de l’Europe.

Delta Air Lines : siège du milieu bloqué jusqu’en janvier

Air-Journal.fr – 25 Août 2020

La compagnie aérienne Delta Air Lines prolonge l’un de ses principaux protocoles de santé et de sécurité jusqu’à la période des Fêtes de Noël, en supprimant la vente des sièges intermédiaires et en limitant le nombre de clients par vol jusqu’au 6 janvier 2021. Elle prolonge également la dispense des frais de modification pour les nouveaux vols achetés jusqu’au 30 septembre.

« Les experts médicaux, y compris nos propres partenaires chez Emory Healthcare, sont d’accord – plus de distance à bord fait la différence », a déclaré dans un communiqué Bill Lentsch, Chief Customer Experience Officer de la compagnie américaine. « Nous privilégions la santé de nos clients et de nos employés et de rétablir la confiance dans la sécurité du transport aérien plutôt que de remplir tous les sièges d’un avion. Nous continuerons d’adopter une approche réfléchie pour rassurer nos clients ». Jusqu’au 6 janvier 2021, Delta bloquera la sélection des sièges du milieu dans les classes Premium Select, Delta ComfortMD et Main Cabin, via l’application Fly Delta ou en ligne.

  • Pour les voyageurs seuls ou à deux : les sièges du milieu seront bloqués pour la sécurité.
  • Pour les groupes de 3 ou plus : les sièges du milieu apparaîtront comme disponibles pour la réservation, pour permettre aux familles et aux compagnons de voyage de sélectionner des sièges côte à côte.

Cette fonctionnalité « nous aide à maintenir notre engagement à donner aux passagers plus d’espace à bord tout en offrant de la flexibilité avec leurs choix de sièges », explique Delta air Lines. Elle s’assurera que ses vols ne sont pas remplis à pleine capacité.

Pour les voyages avant le 31 octobre, la compagnie de l’alliance SkyTeam :

  • Limite le nombre de passagers à bord de tous les avions – avec ou sans sièges intermédiaires.
  • Limite la cabine First à la moitié de la capacité afin d’assurer plus d’espace entre les passagers (sur les vols régionaux en configurations 1+2, la cabine First sera plafonnée à 67% de la capacité).
  • Bloque une allée de sièges sur les avions sans sièges intermédiaires.

Sur les trajets où les avions de la compagnie aérienne « commencent à se remplir », Delta continuera d’augmenter le nombre d’avions de plus grande taille ou d’ajouter d’autres vols. La classe Affaires Delta One sur les gros-porteurs, conçue avec « plus d’espace et d’intimité », sera proposée à pleine capacité à compter du 1er octobre. Les voyageurs peuvent vérifier leurs sélections de sièges à tout moment avant le départ dans My Trips sur delta.com ou dans l’application Fly Delta.

Delta Air Lines « met constamment à jour ses bonnes pratiques et améliore les nouveaux standards de sécurité en se basant sur l’avis d’experts médicaux et sur les retours de ses passagers ». La recherche médicale indique selon elle que le port du masque est l’un des moyens les plus efficaces de réduire le taux d’infection Covid-19. Pour la sécurité de tous, les passagers doivent s’attendre à continuer à porter des masques dans tout l’aéroport, dans les salons Delta Sky et à bord de l’avion pendant la saison des vacances de Noël « et au-delà ».

Les passagers qui indiquent avoir une condition médicale les empêchant de porter un masque sont tenus de compléter un processus d’« autorisation de vol » avant d’être autorisés à voyager. Pour en savoir plus sur les mesures prises par Delta pour garantir la sécurité de ses passagers et de ses employés, cliquez ici.

Pour tous les nouveaux vols achetés jusqu’au 30 septembre, les voyageurs de Delta ont la possibilité de modifier leur vol sans frais pendant un an à partir de la date d’achat. Voir ici pour plus de détails. Consciente de l’importance de la flexibilité, la compagnie aérienne prolonge également la dispense des frais de modification pour les nouveaux vols achetés jusqu’au 30 septembre.

Air France : les vols Paris Orly – Brest reprendront dès le 31 août 2020

TourMag.com – 25 Août 2020

Il sera possible de rejoindre l’aéroport d’Orly jusqu’à quatre fois par jour

Air France relancera le 31 août ses vols entre Paris Orly et Brest. Les passagers pourront rejoindre Orly jusqu’à 4 fois par jour.

Les premiers vols vers Paris-Orly vont reprendre lundi 31 août à l’aéroport Brest Bretagne opérés par la compagnie Air France.

La capitale sera ainsi de nouveau desservie par ses deux aéroports, Orly et Roissy-Charles-de-Gaulle, après une interruption du trafic sur Orly de quelques mois.

En semaine, il sera possible de rejoindre l’aéroport d’Orly jusqu’à quatre fois par jour en Airbus A318 ou A319, deux fois le samedi et trois fois le dimanche.

Port du masque : le groupe Lufthansa serre la vis

Air-Journal.fr – 25 Août 2020

Les compagnies aériennes du groupe Lufthansa ont restreint un peu plus les exemptions tolérées au port obligatoire du masque en vol : toute dispense devra dès le mois prochain être justifiée par un certificat médical accompagné d’un test négatif au Covid-19.

La recrudescence des cas de contamination et des incidents un peu partout dans le monde y est sans doute pour quelque chose : à partir du 1er septembre 2020, une dispense de l’obligation de porter un masque pendant le vol pour des raisons médicales ne sera possible que si un certificat médical est présenté, sur un formulaire fourni par le transporteur. Les passagers peuvent télécharger le document sur les sites Web de Lufthansa, Brussels Airlines, Swiss International Air Lines ou Austrian Airlines. De plus, les passagers qui ne peuvent pas porter de masque pendant le vol doivent présenter un test négatif de Covid-19, ne datant pas de plus de 48 heures avant le décollage. Cela « garantit une sécurité maximale pour les passagers voyageant avec eux ».

Tous les passagers du groupe de Star Alliance seront informés directement de ces nouvelles exigences, par courriel ou SMS, ainsi que via les réseaux sociaux, afin de « donner aux clients la possibilité de s’adapter aux règles modifiées en temps utile ».

Les compagnies aériennes du groupe Lufthansa avaient rendu obligatoire le port du masque à bord de leurs vols début mai ; les exceptions à cette règle n’étaient auparavant possibles qu’avec un certificat médical.

De nombreuses mesures d’hygiène ont été mises en place à bord de leurs avions comme au sol dans les aéroports. Les transporteurs sont également en contact étroit avec l’Agence européenne de la sécurité aérienne (EASA), le Centre européen de prévention et de contrôle des maladies (ECDC) et les autorités nationales « pour promouvoir le développement et l’harmonisation continus des normes sanitaires dans le transport aérien pendant la pandémie de Covid-19 ». Ils ont en outre signé la charte européenne pour la sécurité des vols, s’engageant à respecter les normes les plus strictes en matière de protection contre les infections pendant les voyages aériens à travers le monde.

En principe, le risque de contracter le virus à bord d’un avion est très faible. Les cabines sont équipées de filtres qui nettoient l’air des contaminants tels que la poussière, les bactéries et les virus.

 

Transavia France repart demain vers le Maroc

Air-Journal.fr – 25 Août 2020

La compagnie aérienne low cost Transavia France relance mercredi des vols entre Paris et cinq aéroports marocains, toujours avec des restrictions de voyage liées à la pandémie de Covid-19.

Suspendus depuis la fin juillet, les vols de la filiale d’Air France spécialisée dans le vol pas cher vers le Maroc reprennent demain 26 aout 2020, entre sa base à Paris-Orly et les aéroports de Casablanca, Rabat, Marrakech, Agadir et Oujda. Le site de Transavia indique ce matin des sièges disponibles d’ici fin octobre sur trois rotations hebdomadaires vers Casablanca et Rabat, sept vers Marrakech, jusqu’à six vers Agadir et jusqu’à cinq vers Oujda.

Des conditions spécifiques s’appliquent aux passagers sur ces cinq liaisons, précisait Transavia dans un communiqué la semaine dernière : seuls les citoyens marocains ainsi que les citoyens étrangers ayant le statut de résidents au Maroc sont autorisés à entrer sur le territoire marocain. Les membres de la famille immédiate (conjoint-e-s et enfants) de citoyens marocains et étrangers résidents au Maroc sont également autorisés à entrer sur le territoire, uniquement sur présentation d’une attestation qui leur sera délivrée par le Consulat du Maroc en France.

Les passagers autorisés doivent par ailleurs présenter avant embarquement :

• Un test PCR négatif de moins de 48h ainsi qu’un test sérologique pour tous les passagers à partir de 12 ans ;

• Une fiche sanitaire complétée et imprimée.