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Au sommaire :

  • Aéroports de Paris, des centres commerciaux très lucratifs
  • PNC Eurowings : grève limitée à Düsseldorf et uniformes
  • Aéroport de Paris intéresse plusieurs investisseurs — mais ils veulent être chacun seul maître à bord
  • L’alliance Keolis-RATP Dev remporte le marché du CDG Express
  • Aegean Airlines, au sommet de l’Olympe
  • Aéroport de Guadeloupe : plus de 2 millions de passagers à fin octobre 2018
  • Avec Cosy Joon, Air France soigne les familles

 

Aéroports de Paris, des centres commerciaux très lucratifs

LeMonde.fr – 18 Novembre 2018

Depuis 2009, le gestionnaire d’aéroports a transformé Roissy-Charles de Gaulle, mais aussi Orly en « machine à cash », faisant la fortune d’ADP et de ses actionnaires, notamment l’Etat qui détient la moitié du capital.

Est-ce un groupe aéroportuaire ou un centre commercial que l’Etat s’apprête à céder à l’occasion de la privatisation de Groupe ADP ? Depuis 2009, le gestionnaire d’aéroports a complètement changé de dimension.

Au fil des années, Roissy surtout, mais aussi Orly, se sont transformés en « malls ». A l’exemple de ces gigantesques temples de la consommation dans les banlieues américaines qui réunissent des dizaines d’enseignes commerciales.

Dans le même temps, les passagers sont devenus des clients. Une mue qui a fait la fortune d’ADP et de ses actionnaires, notamment l’Etat qui détient 50,63 % du capital. Pour devenir une véritable machine à cash, le groupe a adopté, en 2011, le système de la double caisse. Cette pratique comptable sépare les revenus tirés des activités aéroportuaires des recettes versées par les commerces.

A l’origine, « le “business model” d’un aéroport c’est l’activité aéronautique classique », explique Stéphane Albernhe, président du cabinet de conseil Archery Strategy Consulting. Il tire l’essentiel de ses revenus des redevances versées par les compagnies aériennes pour faire atterrir et décoller leurs avions, mais aussi accueillir leurs millions de passagers.

Faire le plus de place possible aux boutiques

En contrepartie, le gestionnaire finance le développement de ses infrastructures, aérogares, pistes, dispositifs de sécurité et de gestion des bagages. Des relations encadrées par un contrat de régulation économique (CRE) qui fixe la progression des redevances aéroportuaires pour cinq ans. En revanche, le chiffre d’affaires généré par les activités commerciales, double caisse oblige, échappe au champ d’action du CRE.

D’où l’intérêt pour ADP de pousser les murs afin de faire le plus de place possible aux magasins et aux boutiques. La stratégie paie. Au cours des neuf premiers mois de 2018, les activités aéroportuaires de Roissy-Charles de Gaulle et Orly ont rapporté 1,42 milliards d’euros à ADP. Dans le même temps, le chiffre d’affaires des commerces s’est élevé à 742 millions d’euros. Un véritable pactole.

Dans son « Analyse économique de la régulation des redevances aéroportuaires », Estelle Malavolti, enseignante-chercheuse à l’Ecole nationale de l’aviation civile (ENAC), relève que depuis 2009, la majorité des profits d’ADP provient de ses activités commerciales. En 2017, le bénéfice net du groupe présidé par Augustin de Romanet a atteint la coquette somme de 571 millions d’euros pour un chiffre d’affaires de 3,6 milliards d’euros.

Mesuré à cette aune, le véritable indice de performance d’ADP n’est plus le nombre de décollages ou d’atterrissages d’avions mais le panier moyen par passager. En 2017, il s’est établi à 18,2 euros. Certains voyageurs rapportent plus que d’autres. Un Chinois dépenserait en moyenne 115 euros. Le groupe aéroportuaire peut se frotter les mains ! Trois ans après les attentats de 2015, les passagers internationaux sont de retour en France. Au cours des neuf premiers mois de 2018, ce sont 80 millions de personnes, contre seulement 77,3 millions il y a un an qui ont transité par les deux principaux aéroports parisiens.

Poule aux œufs d’or

Une progression de 3,4 % d’une année sur l’autre portée principalement par un trafic international en hausse de 5,6 % sur la même période. Ce regain ne se dément pas. En octobre, les passagers ont continué d’affluer toujours plus nombreux à Paris. Cette hausse, de 7,9 %, est due principalement aux touristes venus d’Amérique du Nord (+12,3 %) et d’Asie (+10 %). Une très bonne nouvelle pour ADP.

Dans ce cas, vendre une telle poule aux œufs d’or est-il justifiable ? Pour l’Etat, « si l’actif est aujourd’hui relativement rentable, assure Martin Vial, le commissaire aux participations de l’Etat, son taux de rendement en termes de dividendes a toujours été faible du fait de l’augmentation du prix de l’action. Sur dix ans, son rendement moyen a toujours été plus faible que le reste du portefeuille. » Autrement dit, le dividende d’ADP, qui a rapporté près 130 millions d’euros à l’Etat en 2017, reste très faible par rapport à l’importance de l’actif.

Dès lors, poursuit le haut-fonctionnaire, « comme nous renforçons la réglementation autour du groupe et que nous prévoyons un cahier des charges très puissant, nous pouvons nous libérer de cette participation. » Et au prix fort. « D’un point de vue financier, la cession de ses actions n’a d’intérêt pour l’Etat que si le produit de cette cession est supérieur à la somme actualisée des dividendes qu’il pourrait toucher » pendant 70 ans – la durée prévue de la concession –, indique François Ecalle de Fipeco dans une note. Aujourd’hui, cela correspond peu ou prou à la valorisation du groupe en Bourse, soit quelque 18 milliards d’euros, soit environ 9 milliards d’euros pour la participation de l’Etat.

En touchant 9 milliards d’euros, l’Etat ne serait cependant pas totalement gagnant. Le groupe ADP a de nombreux atouts dans sa manche et est encore loin de faire fonctionner à plein sa machine à cash.« Sur les ventes de boutiques, les aéroports de Zurich ou Heathrow atteignent un panier moyen par passager de près de 30 euros. Le groupe ADP, avec de nouvelles surfaces qui arrivent dans les prochaines années, peut se rapprocher de ces niveaux », juge un analyste d’Oddo BHF.

Vers une croissance soutenue

Mieux, avec la croissance attendue du trafic aérien, l’aéroport devrait connaître une croissance soutenue, donc d’avantage de profits et de dividendes. Et il ne les tirerait pas seulement de ses boutiques. D’autres postes d’ADP sont particulièrement lucratifs : son foncier, avec quelque 411 hectares à développer dans les années à venir, et ses activités à l’international.

Alors que le gouvernement souhaite arrêter au printemps les modalités exactes de cession de sa participation, soit à un seul investisseur, soit à plusieurs investisseurs, et que les marques d’intérêts sont fortes tant de la part d’industriels du secteur ou des fonds de pension ou d’infrastructure, « il faut que l’Etat fixe un prix minimum et renonce si ce n’est pas atteint », assurait début novembre M. Ecalle devant un commission du Sénat.

C’est qu’il faut agir tout de suite. « Les actionnaires privés ont tendance à relever les redevances et à réduire la qualité, juge l’économiste. Si la régulation est très stricte aujourd’hui dans la loi Pacte, personne ne sait ce qui se passera dans dix ans. Le cahier des charges sera renégocié… et celui qui détient le contrat est toujours en position de force… »

 

PNC Eurowings : grève limitée à Düsseldorf et uniformes

Air-Journal.fr – 20 Novembre 2018

Les hôtesses de l’air et stewards de la compagnie aérienne low cost Eurowings ne seront en grève que dans la matinée ce mardi, et uniquement à l’aéroport de Düsseldorf. Ceux qui travaillent portent tous un nouvel uniforme bleu ciel.

La filiale du groupe Lufthansa spécialisée dans le vol pas cher a annoncé que le mouvement de PNC lancé par le syndicat Ver.di ce 20 novembre 2018 était limité à une seule base, Düsseldorf, les douze autres n’étant pas affectées. La grève est prévue de 4h30 à 12h30 ce mardi, et les passagers d’Eurowings sont priés de vérifier l’état de leur vol avant d’arriver à l’aéroport ; des retards à l’enregistrement et à la sécurité risquent de se produire. La low cost « regrette les inconvénients pour ses clients et fera tout ce qui est en son pouvoir pour en minimiser l’impact ».

Eurowings, qui emploie 500 personnes à Düsseldorf et y propose près de 110 routes (dont 6 vers la France), ne fournit pas de liste de vols annulés ou modifiés ; une porte-parole a affirmé hier dans la presse allemande que seuls 18 vols étaient touchés par la grève. La deuxième des quatre rotations vers Paris-CDG est affichée en rouge, ainsi que la première des trois vers Lyon.

Les revendications de Ver.di concernent notamment des temps d’astreinte trop longs entre différents vols, et des changements d’horaires au dernier moment. « La situation n’est plus supportable pour les membres du personnel de cabine. Ils travaillent à leurs limites et n’ont aucune clarté sur leurs conditions de travail », dénonçait le syndicat la semaine dernière avant de quitter la table des négociations. Ce que la compagnie aérienne a déploré hier, une date ayant été fixée pour les prochaines négociations.

Eurowings a d’autre part annoncé hier que les 3200 PNC du groupe étaient désormais revêtus d’un uniforme bleu ciel, les 700 membres d’équipage de Germanwings ayant abandonné leur couleur « mûre » traditionnelle. « Nous avons maintenant une apparence uniforme en cabine, et nous nous présentons à nos clients comme une seule et même entreprise – un autre jalon visible vers une présence uniforme de la marque dans toutes nos opérations aériennes », a déclaré Michael Knitter, directeur général et chef de l’exploitation du groupe Eurowings.

Environ 100.000 pièces d’uniforme ont été nécessaires pour ce changement, soit en moyenne 30 vêtements et accessoires pour chaque agent de bord. Tous les articles sont certifiés Öko-Tex et « à quelques exceptions près, adaptés aux machines à laver ». Le nouvel uniforme «Sky Blue» a été introduit il y a trois ans avec la nouvelle identité de marque Eurowings. Eurowings poursuit également l’harmonisation de son image de marque ailleurs : « bientôt », tous les avions seront également peints à ses couleurs.

 

Aéroport de Paris intéresse plusieurs investisseurs — mais ils veulent être chacun seul maître à bord

BusinessInsider.fr – 19 Novembre 2018

L’Etat n’a pas encore tranché sur les modalités de mises en oeuvre de la privatisation d’Aéroport de Paris, mais subit déjà une forte pression de la part des investisseurs intéressés.

Parmi les questions liées à ADP, Bercy se demande s’il faut vendre tout ou partie des 50,6% du capital détenus par l’Etat et si la vente doit être réalisée d’un bloc ou par blocs.

D’après Les Echos, plusieurs candidats potentiels auraient fait savoir à l’Etat qu’ils ne souhaitaient pas participer à un processus de vente minoritaire.

Le quotidien cite les australiens IFM Investors (82 milliards de dollars d’actifs sous gestion) et Macquarie (399 milliards de dollars), ainsi que l’américain Global Infrastructure Partners (51 milliards de dollars). « Nous n’irons pas sur un processus minoritaire, dit l’un d’entre eux. Nous investirons si nous avons des droits dans la gouvernance et sur la façon dont est gérée la société et la façon dont sont déployés les investissements. Si c’est pour entrer en minoritaire, même avec une option sur une prise de contrôle ultérieure via une OPA, il y a le risque que Vinci prenne le contrôle à court ou moyen terme. »

Une prise de contrôle est effectivement dans le viseur de Vinci qui détient déjà 8% du capital d’ADP et qui deviendrait avec cette opération le premier exploitant d’aéroports au monde. Xavier Huillard, le PDG du groupe, l’avait confirmé dans un entretien à Paris Match le 8 novembre dernier.

« Si le capital est découpé en petits morceaux, cela ne nous intéressera pas puisque nous avons vocation à contrôler ou du moins à en avoir la perspective […]. Par ailleurs, dans cinquante ans, nous serons toujours là alors que les fonds d’infrastructures ne restent guère au-delà de quinze ans. »

ADP est valorisé en Bourse près de 18 milliards d’euros.

 

L’alliance Keolis-RATP Dev remporte le marché du CDG Express

LesEchos.fr – 19 Novembre 2018

L’Etat s’est prononcé malgré la plainte déposée par Transdev devant l’Autorité de la concurrence.

La plainte déposée par Transdev devant l’Autorité de la concurrence le 7 novembre n’aura finalement différé que de quelques jours la désignation par l’Etat du futur exploitant du CDG Express, la liaison ferroviaire directe qui doit relier la gare de l’Est à Paris à l’aéroport Roissy-Charles de Gaulle.

Alors que l’annonce était initialement attendue pour le 15 novembre, un document officiel, dont le magazine « Ville, rail et transport » a eu communication, a entériné lundi la décision du gouvernement de choisir le duo Keolis-RATP Dev comme attributaire pressenti du marché.

Un choix presque sans surprise, pourrait-on dire. Car Transdev était le seul autre candidat en lice et si le groupe de transport contrôlé par la Caisse des Dépôts a longtemps fait figure de vainqueur crédible, la plainte déposée devant l’Autorité de la concurrence dans la dernière ligne droite semblait témoigner que le groupe avait perdu tout espoir de l’emporter.

Le motif précis de la plainte n’est pas encore connu, Transdev comme l’Autorité se refusant à tout commentaire à ce stade. Selon une source, Transdev estimerait que l’alliance entre RATP Dev (filiale de la RATP) et Keolis (contrôlé à 70 % par la SNCF) s’apparente à une entente entre deux sociétés aujourd’hui en situation de monopole sur l’Ile-de-France. La société demandait une suspension de leur candidature commune.

Cette plainte n’a pas dissuadé l’Etat de faire son choix, mais la procédure va tout de même suivre son cours. Et fera peser une hypothèque juridique sur le CDG Express tant que l’Autorité de la concurrence n’aura pas statué.

Un calendrier déjà très tendu

Le calendrier pour arriver à finir le chantier dans les délais – la nouvelle ligne doit être prête à temps pour les Jeux Olympiques de 2024 – est déjà extrêmement tendu, et tout retard rendrait cet objectif hors d’atteinte. Le binôme Keolis-RATP Dev ne peut donc se permettre d’attendre avant de lancer les investissements liés au marché et notamment la commande auprès d’Alstom des 12 trains Regiolis, qui doivent transporter les voyageurs sur la future ligne. Au risque de se retrouver avec ces trains sur les bras, si l’Autorité de la concurrence donnait finalement raison à Transdev. Selon une source au fait du dossier, Keolis serait prêt à prendre le risque : de nombreuses régions sont équipées de trains Regiolis, ce qui offre des débouchés pour une revente.

L’Etat contrôlant la Caisse des Dépôts, et donc indirectement Transdev, il est également possible que le groupe de transport soit fortement incité à retirer sa plainte dans les semaines à venir, afin de faciliter l’aboutissement d’un projet que la puissance publique pousse depuis des années.

 

Aegean Airlines, au sommet de l’Olympe

TourMag.com – 19 Novembre 2018

10 ans après son arrivée en France, la compagnie aérienne continue de surfer sur le succès touristique des îles grecques et en profite pour accélérer encore son développement.

Aegean Airlines, la principale compagnie aérienne grecque, fête en cette fin d’année 2018 ses 10 ans de présence à Paris-Charles de Gaulle.

« C’est une vraie suces story qui n’est pas prête de se terminer », s’enthousiasme Pierre-Emmanuel Duband, son directeur des ventes Europe de l’Ouest, à l’occasion d’une soirée d’anniversaire donnée à Paris le 14 novembre 2018.

En effet, le transporteur aérien fondé en 1999, continue de surfer sur la bonne santé du tourisme dans les îles grecques, qui bat de nouveaux records chaque année (27 millions de touristes en 2017), et s’apprête à renouveler l’ensemble de sa flotte d’une soixantaine d’appareils.

En mars dernier, Aegean a ainsi signé chez Airbus une première commande de 42 nouveaux avions de la famille des A320neo. Il s’agit à ce jour du plus gros investissement privé en Grèce, explique la compagnie dans un communiqué.

D’autant qu’en 2017, Aegean a battu son nouveau record de fréquentation, transportant 13,2 millions de passagers au total. Un chiffre bien loin des 300 000 personnes que la compagnie avait transporté en 1999, avant qu’elle rachète successivement les ex-Air Greece puis Olympic Air.

D’excellents résultats rendus possibles par le dynamisme de marché comme la France, où la compagnie n’a jamais cessé de se développer ces dernières années. Entre 2013 et 2018, elle y a ainsi augmenté son trafic de 91%, proposant en 2018 près d’un million de places disponibles.

Actuellement, elle propose des vols au départ de 12 aéroports de l’Hexagone, dont Bâle-Mulhouse est le dernier en date. Depuis Paris, Aegean vole actuellement à raison 4 vols quotidiens en été, et 3 en hiver, vers 5 destinations de Grèce. Depuis son hub d’Athènes, Aegean propose ensuite une trentaine de destinations grecques sur son réseau domestique.

Pour autant, un lancement prochain sur le long-courrier n’est pas au programme, la compagnie préférant s’appuyer sur le réseau de Star Alliance, auquel elle appartient. Et pour cause, près de 30% du trafic de la ligne Paris-Athènes est constitué de passagers en correspondance.

« Faire du long-courrier n’est pas si compliqué, mais rendre cela rentable est plus compliqué. C’est un autre métier », tranche Pierre-Emmanuel Duband. « Pour l’instant, notre objectif est de continuer à utiliser au maximum notre flotte pour la faire voler 24h/24, vers l’Europe comme vers l’Ouest », conclut-il.

 

Aéroport de Guadeloupe : plus de 2 millions de passagers à fin octobre 2018

TourMag.com – 19 Novembre 2018

La Société Aéroportuaire Guadeloupe Pôle Caraïbes (SA GPC) annonce plus de 71 000 passagers supplémentaires accueillis sur la plateforme à fin octobre 2018.

C’est un nouveau record pour la Société Aéroportuaire Guadeloupe Pôle Caraïbes (SA GPC) dont le trafic total, transit inclus, dépasse cette année 2 millions de passagers dès le mois d’octobre.

« Ce sont, en tout, plus de 71 000 passagers supplémentaires accueillis sur la plateforme et cette tendance sera probablement accentuée en novembre sous l’effet combiné de la Route du Rhum et de la reprise des opérations de la compagnie NORWEGIAN, et le lancement de leurs nouvelles liaisons vers Cayenne et Montréal » indique un communiqué de presse.

Sur le seul mois d’octobre, l’aéroport a enregistré une progression du trafic passagers de 2,9% par rapport à octobre 2017, progression qui vient confirmer la tendance annuelle de croissance qui s’établit à 3.8% (hors transit).

Cette progression s’explique principalement par la bonne dynamique que continuent d’enregistrer les réseaux France hexagonale (+10,3%), Caraïbes (+7,9%) et Amérique du Nord (+5,9%).

Sur le faisceau Martinique – Guyane, le trafic reste stable avant une reprise attendue de la croissance sous l’effet du démarrage, au mois de novembre, des opérations de Norwegian vers Cayenne.

Le trafic vers les Iles du Nord, Saint Martin/Saint Barthélémy, reste en recul, conséquence de l’impact des ouragans de septembre 2017.

 

Avec Cosy Joon, Air France soigne les familles

QuotidienDuTourisme.com – 19 Novembre 2018

Joon lance Cosy Joon : des sièges à bord qui se transforment en lits ou en aire de jeux pour de jeunes enfants. Le produit est disponible depuis novembre 2018 sur les vols long-courriers effectués en Airbus A340 opérés par Joon.

Depuis novembre 2018, Joon propose ses nouveaux sièges modulables Cosy Joon qui se transforment en lit ou en aire de jeux pour les enfants.

Dans certaines rangées de quatre sièges des Airbus A340 Joon, deux sièges contigus pourront désormais se transformer en aire de jeux ou en lit douillet pour deux enfants.

Pour cela, l’équipage Joon transforme l’appuie-tête du siège de l’enfant en assise supplémentaire pour combler l’espace entre les rangées de sièges. Nos jeunes clients profitent ainsi d’une surface d’environ 105 x 76 cm sur deux sièges côte à côte. Un surmatelas et une extension de ceinture de sécurité vous seront également remis par l’équipage.

Au total, 16 sièges Cosy Joon sont à votre disposition sur chacun des vols long-courriers Joon effectués en Airbus A340. Vous pouvez les réserver jusqu’à 55 heures avant le départ de votre vol au même titre qu’un siège standard par les familles éligibles pour 20€ TTC par siège auprès d’Air France ou de votre agence de voyage. Cosy Joon est gratuit pour les membres Flying Blue Silver, Gold et Platinum ainsi que leur famille figurant sur le même dossier de réservation. La réservation de ces sièges demeure gratuite, lors de l’enregistrement en ligne dès 30h avant votre départ, sous réserve de sièges disponibles.