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Au sommaire :  

 

  • Air France-KLM pourrait racheter 49 % de Malaysia Airlines

  • Honte de prendre l’avion : « l’effet Greta » sur le transport aérien

  • L’aéroport de Paris-Beauvais toujours en croissance en 2019

  • Roissy : ADP incite les petites entreprises à participer au chantier du Terminal T4

  • Nantes : plus de 7,2 millions de passagers en 2019

  • Aéroport de Lyon : 11,74 millions de passagers en 2019

 

 

Air France-KLM pourrait racheter 49 % de Malaysia Airlines

LesEchos.fr – 21 Janvier 2020

Selon la presse de Sinagpour, Air France-KLM aurait déposé une offre de rachat de 49 % du capital de Malaysia Airlines, dans le cadre d’un appel d’offres organisé par le gouvernement de Malaisie. Mais d’autres candidats sont sur les rangs et les synergies éventuelles ne sont pas évidentes.

Air France-KLM va-t-il voler au secours de Malaysia Airlines ? Selon le quotidien de Singapour « The Straits Times », le groupe figure parmi les candidats à la reprise de la compagnie malaisienne, détenue par le fonds souverain de Malaisie Khazanah Nasional et en grandes difficultés depuis plusieurs années. Air France-KLM aurait proposé de prendre une participation de 49 % dans le capital de Malaysia Airlines (MAS), soit le maximum autorisé pour un investisseur étranger. Mais il n’est pas le seul en lice. La compagnie japonaise JAL, partenaire commerciale de MAS, est aussi sur les rangs, ainsi que plusieurs compagnies asiatiques parmi lesquelles les malaisiennes Air Asia et Malindo Air, et l’indonésienne Lion Air…

Une compagnie en grandes difficultés

L’intérêt d’Air France-KLM pour Malaysia Airlines a de quoi surprendre. Si l’ex-compagnie nationale de Malaisie bénéficie d’une situation géographique privilégiée pour rayonner sur toute l’Asie à la façon de sa grande rivale Singapore Airlines, MAS n’a jamais brillé par sa réussite. Avant même les deux catastrophes de 2014 (la disparition du vol MH370 dans les mers australes et la perte du vol MH17 abattu par un missile russe au-dessus de l’Ukraine), la compagnie se débattait déjà dans les pires difficultés. Au point d’être surnommée « l’Alitalia de l’Asie ». Ecrasée par Singapore Airlines sur les lignes internationales et bousculée par Air Asia et les autres low cost asiatiques sur les lignes régionales, MAS n’a jamais véritablement réussi à sortir la tête de l’eau. 

Une restructuration inachevée 

Le dernier plan de restructuration engagé en 2015 dans le cadre de la reprise par le fonds souverain sous la direction d’un ancien dirigeant d’Emirates, a marqué quelques progrès dans la réduction des coûts, avec notamment la sortie annoncée des Airbus A380 sous-utilisés, mais il n’est pas allé jusqu’à son terme, avec le départ surprise des dirigeants. D’où la volonté annoncée par le gouvernement malaisien d’adosser Malaysia Airlines à un partenaire stratégique susceptible de terminer le travail et de lui rouvrir les marchés internationaux.

Que veut faire Air France-KLM ?

Reste à savoir ce que Air France-KLM aurait à offrir à Malaysia Airlines. Commercialement, MAS n’est pas dans le même camp, puisqu’elle fait partie de l’alliance Oneworld de British Airways. Selon la presse locale, le principal intérêt d’Air France-KLM serait la création d’un hub de maintenance à Kuala Lumpur. Ce qui semble un peu juste pour justifier ce qui constituerait la première prise de participation significative d’Air France-KLM dans une compagnie étrangère depuis la tentative avortée chez Virgin Atlantic, l’an dernier. Par ailleurs, en matière de consolidation, la priorité semble plutôt être le marché européen, où IAG et Lufthansa ont distancé Air France-KLM et où des opportunités existent, comme l’avait lui-même souligné son directeur général, Benjamin Smith. Interrogé, Air France-KLM s’est refusé à tout commentaire.

 

Honte de prendre l’avion : « l’effet Greta » sur le transport aérien

DeplacementsPros.com – 20 Janvier 2020

Le suédois n’est peut-être pas la langue universelle du monde de l’aviation, mais interrogez n’importe quel dirigeant de compagnie aérienne sur le terme « flygskam » et il saura probablement ce qu’il signifie exactement.

Flygskam – qui signifie « honte de voler » en suédois – est un mouvement environnemental en pleine expansion qui met en évidence l’empreinte carbone du secteur aérien, en faisant pression sur les transporteurs pour qu’ils réduisent leurs émissions de gaz à effet de serre tout en gérant le coût de la culpabilité des passagers. L’aviation commerciale est responsable d’environ 2 % des émissions mondiales de carbone, une part bien plus faible que celle des voitures dont les estimations varient entre 15 % et 20 %.

« On dirait qu’il y a eu un déclic« , explique, au site d’information Bloomberg, Seth Kaplan, expert en transport aérien. « Pendant un certain temps, il y a eu cette reconnaissance progressive de l’urgence du changement climatique, puis, depuis environ un an, tout cela a vraiment été mis sous les projecteurs, avec l’aide de Greta Thunberg.«

Cette jeune militante suédoise, qui s’est rendue en voilier à un sommet sur le climat à New York pour éviter de prendre l’avion et les émissions qui en découlent, a attiré l’attention sur le rôle de l’aviation dans le réchauffement de la planète, avec des conséquences pour les compagnies de voyage.

Le PDG de SAS, l’un des plus grands transporteurs de Scandinavie, a attribué la baisse du nombre de passagers en Suède à la honte des vols. Le principal opérateur ferroviaire du pays, SJ, a déclaré avoir vendu 1,5 million de billets de plus en 2019 que l’année précédente, grâce à ce que l’on a appelé « l’effet Greta« . D’autres pays européens connaissent le même phénomène. L’Allemagne a enregistré une baisse similaire de ses vols intérieurs ainsi qu’une augmentation correspondante des voyages en train.

Pour lutter contre cette tendance, les compagnies aériennes se tournent vers les compensations carbone, où elles investissent dans des projets tels que des parcs éoliens et la plantation d’arbres pour compenser le dioxyde de carbone produit par les avions. 

De telles mesures pourraient coûter des milliards aux compagnies aériennes, a déclaré Citigroup Inc. dans une note de recherche en octobre dernier. Le conglomérat bancaire prévoit que les vols en classe économique avec compensation carbone coûteront 3,8 milliards de dollars par an d’ici cinq ans. 

Les transporteurs pourraient absorber cette dépense ou la répercuter sur les consommateurs par le biais d’un prix de billet plus élevé, mais les compagnies aériennes auront du mal à long terme si l’augmentation des coûts dissuade les voyageurs de prendre l’avion, a précisé Citigroup.

Si les compagnies aériennes assument elles-mêmes la facture, le coût de la compensation carbone de toute la consommation de loisirs pourrait atteindre 27 % des bénéfices des compagnies aériennes d’ici 2025, selon plusieurs experts. La compensation des voyages d’affaires (définis comme des sièges en classe affaires) coûtera 2,4 milliards de dollars supplémentaires, réduisant les bénéfices des compagnies aériennes de 17 % supplémentaires.

La Commission européenne, de son côté, a appelé à une Europe « climatiquement neutre » d’ici 2050 et les compagnies aériennes ont pris des mesures importantes pour répondre à cet appel. easyJet a annoncé en novembre qu’elle commencerait à compenser ses émissions immédiatement, une mesure qui, selon elle, fait d’elle la première grande compagnie aérienne à exploiter des vols sans émission de carbone.Il faut aussi citer British Airways qui a commencé à compenser tous les vols au Royaume-Uni depuis le 1er janvier 2020. Air France mène également une politique visant à réduire et compenser les émissions carbone de ses vols. 

Pour y parvenir, les transporteurs se dotent d’avions moins « énergivores » et investissent massivement dans les biocarburants. Toutefois, la prolifération des transporteurs à bas prix et un secteur touristique solide entraînent une augmentation des émissions, même si les avions sont de plus en plus économes en carburant.

Une étude récente du Conseil international pour un transport propre a révélé que les émissions des avions augmentent jusqu’à 50 % plus vite que les prévisions des Nations unies, dont l’organe de l’aviation prévoit que la consommation de carburant des avions fera plus que doubler d’ici 2045.

Aujourd’hui, afin de réduire l’empreinte carbone de leurs vols, les compagnies plantent des arbres comme si elle demandait pardon pour les « péchés climatiques » qu’elles commettent. De plus, il n’y a pas assez de plantations d’arbres dans le monde pour vraiment compenser l’impact des émissions.

En axant toute la stratégie environnementale des compagnies aériennes sur la compensation carbone au détriment de la question de la dépendance aux combustibles fossiles, on a réussi à transformer les effets en cause. Greta va pouvoir, pendant pas mal d’années encore, culpabiliser tous ceux qui prennent l’avion sans que, pour autant, un autre modèle de transport aérien acceptable d’un point de vue environnemental ne soit proposé.

  

L’aéroport de Paris-Beauvais toujours en croissance en 2019

DeplacementsPros.com – 20 Janvier 2020

La troisième plateforme parisienne profite des nouveaux vols de Ryanair et Wizzair, mais aussi de ceux de SkyUp et FlyEgypt.

L’aéroport de Paris-Beauvais es résultats du nombre de passagers de l’aéroport Paris-Beauvais viennent d’être communiqués. Sur l’année 2019, la plateforme aéroportuaire a enregistré une augmentation de plus de 5% de son trafic annuel. 

En 2018, l’Aéroport Paris-Beauvais avait renoué avec la croissance et son nombre de passagers était reparti à la hausse. Cette tendance s’est confirmée cette année, avec près de 4 millions de passagers transportés (3,98 exactement), soit une croissance de 5,2% par rapport au trafic de l’année précédente. Paris-Beauvais maintient donc sa position de 10e aéroport français. 

L’aéroport fournit plusieurs raisons à la croissance. D’abord l’arrivée de la compagnie SkyUp et l’ouverture des nouvelles routes vers Kiev et Lviv (Ukraine) depuis septembre dernier. Ensuite l’’ouverture des lignes vers Brindisi (Italie), Poznan (Pologne) et Sofia (Bulgarie) par Ryanair.

Wizzair a pour sa part lancé Varna (Bulgarie) et augmenté sa capacité sur la plateforme. On notera enfin la série de vols charter estivaux vers Le Caire (Egypte) de la compagnie FlyEgypt. Rappelons que trois autres compagnies régulières opèrent sur la plateforme, Blue Air, Air Moldova et Laudamotion.

 

Roissy : ADP incite les petites entreprises à participer au chantier du Terminal T4

LeParisien.fr – 20 Janvier 2020 

À travers les premières Rencontres du T4, le groupe s’est adressé aux PME et TPE de la région. Il promet que l’énorme chantier de développement de l’aéroport de Roissy aura d’importantes répercussions économiques sur le territoire.

Quinze années de travaux, une charpente métallique de 30 000 t – soit quatre fois la tour Eiffel – 780 000 m 2 de surface de plancher à créer et aménager… Le chantier nécessaire à la construction du futur terminal T4 s’annonce titanesque. Alors que le projet commence à soulever de plus en plus de contestation – 67 maires et présidents de collectivité viennent d’ailleurs d’envoyer un courrier au président de la République – Aéroports de Paris (ADP) avance des chiffres qui donnent le tournis. Le groupe met en avant les retombées économiques d’un tel chantier, et en particulier pour le territoire.

20 % du marché dédiés au TPE et PME 

Le détail de ces perspectives a été dévoilé ce lundi à l’occasion des premières « rencontres du T4 », qui ont réuni de nombreux entrepreneurs d’Ile-de-France. « Les travaux vont commencer très vite (NDLR : ADP envisage de lancer les premiers coups de pioche en 2021), et c’est un projet de longue haleine qui va concerner de nombreuses filières », déclare Henri-Michel Comet, secrétaire général du groupe. « Ce que nous visons, c’est d’abord de la création de richesse sur le territoire. Nous souhaitons une relation dense et intense avec les PME et TPE. »

À la suite de la concertation préalable menée l’an dernier, ADP a pris une série de 29 engagements. Le 18 e concerne justement cet aspect et la société affiche même désormais un objectif chiffré : 20 % de la valeur totale du marché doivent être réalisés par des entreprises de taille petite, moyenne et intermédiaire. Sachant que l’investissement anticipé pour le T4 est estimé entre 7 et 9 milliards d’euros, les entrepreneurs franciliens ne peuvent qu’être intéressés.

« C’est pas pour nous, le T4 c’est trop gros » 

Ils ont en tout cas envie d’y croire. « Cela peut vraiment être intéressant », témoigne Ali à la tête d’une toute petite entreprise de second œuvre à Montfermeil (Seine-Saint-Denis). « Mais le plus compliqué, cela va être de trouver la porte d’entrée. On sait bien que les gros du secteur type Bouygues ou Eiffage vont prendre tous les marchés. » Mathieu, qui dirige l’entreprise Autrement à Brie-Comte-Robert (Seine-et-Marne), confie qu’il ne se fait pas d’illusion en sortant de la première rencontre organisée à la Maison de l’environnement. « C’est pas pour nous, le T4 c’est trop gros… Répondre à de tels marchés, c’est trop compliqué ! »

« Pour avoir une bonne réactivité, il vaut mieux travailler avec le local » 

Mais le groupe compte surtout demander aux grands groupes de développer leur sous-traitance auprès des PME locales. « Pour faciliter cet effet cascade entre les grands et les petits, nous allons faire un catalogue des PME afin de leur donner de la visibilité », détaille Amélie Lummaux. « Le ruissellement, ça existe », constate Jacques de l’entreprise Satixi, basée à Cergy et spécialisée dans la sûreté périmétrique. « Je me doute bien que les marchés vont finir entre les mains des donneurs d’ordres habituels, je n’ai pas la prétention de signer avec ADP. Mais de nos jours, les majors font surtout de la maîtrise d’œuvre, après ils se tournent vers des petites entreprises spécialisées. De toute façon, pour avoir une bonne réactivité il vaut mieux travailler avec le local. »

Un risque de manque de main-d’œuvre

ADP s’engage enfin à « accompagner les entreprises » et tenter d’agir au niveau du recrutement par le biais notamment de forums. Car un autre problème se profile : alors que les grands travaux, liés notamment au Grand Paris, se bousculent en Ile-de-France, la main-d’œuvre risque de manquer dans un secteur du bâtiment déjà en tension. Le chantier du T4 doit mobiliser entre 4 000 et 5 000 personnes, selon les années, d’après ADP.

  

Nantes : plus de 7,2 millions de passagers en 2019

Air-Journal.fr – 21 Janvier 2020

L’aéroport de Nantes-Atlantique a pour la première fois franchi la barre des 7 millions de clients en 2019, avec une croissance du trafic de 16,6% par rapport à l’année dernière.

Septième aéroport français, Nantes-Atlantique a accueilli l’année dernière 7,2 millions de passagers, soit un million de plus qu’en 2018. Le gestionnaire Vinci Airports précise qu’il s’agit de la plus forte progression parmi les sept plateformes de son réseau hexagonal, les mouvements d’avions ayant eux progressé de 7,8% pour un total de 63.000.

L’année 2019 à Nantes-Atlantique a été « particulièrement marquée par le renforcement de l’ouverture du territoire et de sa connectivité », avec 29 ouvertures de lignes dont Copenhague (Danemark), Tanger (Maroc), Tel Aviv (Israël) ; l’ouverture de la base easyJet en avril et la création induite de 110 emplois directs ; l’obtention de la certification ISO 14001 « qui récompense la qualité de la démarche environnementale et les résultats déjà obtenus, comme la réduction de 46% de nos émissions de CO2 en 5 ans ».

L’aéroport nantais « démarre 2020 » selon son gestionnaire avec le lancement des travaux sur le parking à étage pour gagner 400 places à la saison été ; la poursuite des travaux de renouvellement des commerces de l’aérogare, en zone publique et en zone d’embarquement, pour l’amélioration du confort des passagers (fin des travaux en avril prochain). Et surtout 15 ouvertures de lignes annoncées à ce jour, comme Dakar (Sénégal), Istanbul (Turquie), Reykjavik (Islande), Luxembourg ou encore Varna (Bulgarie), « qui viennent enrichir le réseau de destinations en direct de Nantes, pour les besoins de mobilité du Grand Ouest tant professionnelle que personnelle ».

Avec 255 millions de passagers (+5,7% par rapport à 2018, à réseau comparable) accueillis sur 46 aéroports en 2019, VINCI Airports a consolidé sa position de deuxième opérateur aéroportuaire mondial en nombre de passagers avec une présence dans 12 pays.

 

Aéroport de Lyon : 11,74 millions de passagers en 2019

Air-Journal.fr – 21 Janvier 2020

L’aéroport de Lyon-Saint Exupéry affiche une progression de 6,4% de son trafic passagers par rapport à 2018, avec 11.739.600 passagers. Une croissance équilibrée entre le trafic domestique et le trafic international, avec respectivement +6,3% et +6,6%. Le parking robotisé va être étendu.

En France, le trafic de l’aéroport lyonnais a augmenté de 6,3%. Les liaisons transversales vers le nord-ouest affichent les meilleures performances « et reflètent le dynamisme des aéroports du réseau VINCI Airports » selon le communiqué du gestionnaire, avec notamment +7,9% pour la liaison Lyon – Nantes ou +17,5% pour Lyon – Rennes.

L’international progresse de 6,6%. « Malgré l’impact de la fermeture d’Aigle Azur », le trafic vers le Maghreb croît de 8% ; le bond des destinations marocaines (+23,4%) s’explique notamment par les nouvelles lignes des compagnies aériennes low cost Air Arabia et easyJet sur Tanger en 2019. L’ensemble des grandes liaisons sur l’Union européenne enregistre de bons chiffres avec +5,5% ; « à souligner en période de discussion sur le Brexit », le trafic du Royaume-Uni reste stable (+0,5%) en 2019 par rapport à 2018.

Hors Europe, la Russie bénéficie du second vol quotidien d’Aeroflot sur Moscou et double son trafic par rapport à 2018. Le nombre de passagers sur les liaisons canadiennes augmente de 6,4% grâce aux vols opérés par Air Transat et Air Canada. Cette dernière lancera d’ailleurs une 6ème fréquence hebdomadaire en juin prochain. 

Le trafic vers « le Moyen Orient » s’est également largement renforcé en 2019 avec des scores tout à fait remarquables sur l’Arménie (+66,9%), l’Egypte (+171,8%), les Emirats Arabes Unis (+7,7%) et Israël (+24,8%). L’ouverture par Transavia de deux nouvelles lignes sur Beyrouth et Amman en 2019, et l’annonce d’une ligne vers Doha par Qatar Airways en 2020, « marquent l’attractivité de cette zone ».

Toujours porté par « la dynamique amenée en 2016 par VINCI Airports », l’aéroport Lyon-Saint Exupéry a accueilli en 2019 de nouveaux « grands développements de réseau ». Avec 18 ouvertures de lignes dont 8 nouvelles destinations, le réseau aérien atteint aujourd’hui plus de 130 lignes directes au départ de Lyon. Deux nouvelles compagnies se sont installées à l’aéroport de Lyon : Braathens Régional Airlines sur Göteborg et Tarom sur Bucarest, tandis que la base lyonnaise d’easyJet s’est renforcée avec un 8ème avion. Volotea accélère aussi son développement et confirme la création d’une base à Lyon en 2020, passant ainsi de 4 destinations opérées en 2018 à 18 en 2020.

Après une expérimentation réussie sur 500 places depuis plus d’un an, le système de parking robotisé extérieur développé par Stanley Robotics et VINCI Airports à l’aéroport de Lyon, connaît une nouvelle phase de déploiement. Sur la base d’un accord qui vient d’être conclu entre les deux partenaires, ce parking très innovant va être étendu à 2000 places à l’été 2020. Cette innovation mondiale participe à l’amélioration de la qualité de service pour les passagers et aux enjeux de développement durable de l’aéroport 

Avec 255 millions de passagers (+5,7% par rapport à 2018, à réseau comparable) accueillis sur 46 aéroports en 2019, VINCI Airports a consolidé sa position de deuxième opérateur aéroportuaire mondial en nombre de passagers avec une présence dans 12 pays.