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Au sommaire :

  • Le trafic passagers de Paris Aéroport s’est envolé en février
  • L’Aena, l’aéroport de Zurich et un consortium brésilien remportent les enchères desaéroports au Brésil
  • ADP : privatisation en vue et trafic en hausse
  • Brussels Airport : le trafic impacté par la grève nationale du 13 février 2019
  • SAS : une perte de 44,5 millions d’euros au premier trimestre
  • SWISS : bénéfice d’exploitation record en 2018
  • Etihad Airways affiche une perte de 1,28 milliard de dollars en 2018
  • Aigle Azur renforce le long-courrier, optimise son réseau

 

Le trafic passagers de Paris Aéroport s’est envolé en février

Déplacements Pros – 17/03/2019

Les deux plates-formes parisiennes ont fait le plein au mois de février. Le trafic de Paris Aéroport a grimpé de 5,2% par rapport à la même période l’année dernière. La croissance est principalement portée par le segment international.

Paris Aéroport a géré 7,3 millions de voyageurs (5,2%) en février, dont 5,1 millions à Paris-Charles de Gaulle (+7,1%) et 2,2 millions à  Paris-Orly (+1,1%). 
Le segment international (hors Europe) a été particulièrement dynamique avec une croissance de (+6,5%). Toutes les régions affichent des progressions : Amérique du Nord (+13,0%), Amérique Latine (+8,6%), Afrique (+6,5%), Moyen-Orient (+4,0%), Asie-Pacifique (+3,8%) et DOM-COM (+2,1%). 
Le trafic Europe (hors France) a augmenté pour sa part de 4,5% en février tandis que le marché France présente une croissance de 3,7%. Le nombre de passagers en correspondance a grimpé de 10,5%. Le taux de correspondance de Paris Aéroport s’est établi à 23,8%, soit une hausse de 1,1 point par rapport à février 2018. 
Depuis le début de l’année, le trafic de Paris Aéroport est en progression de 3,5% avec un total de 15,0 millions de voyageurs. Le nombre de passagers en correspondance progresse de 7,0%. Le taux de correspondance s’établit à 25,2%, soit une croissance de 0,8 point. 
Les autres plates-formes du groupe ADP 
Le trafic de TAV Airports, dont le Groupe ADP détient 46,1% du capital, est en hausse de 6,4% au mois de février 2019 et de 4,8% depuis le début de l’année. 
Le trafic de l’aéroport de Santiago du Chili, dont la holding possède 45% du capital, est en augmentation de 8,3%  au mois de février 2019 et de 9,6% depuis le début de l’année. 
Le trafic d’Amman, dont le Groupe a 51% du capital, a grimpé de 9,2%  au mois de février 2019 et de 6,9% depuis le début de l’année.

 

L’Aena, l’aéroport de Zurich et un consortium brésilien remportent les enchères des aéroports au Brésil

Journal de l’Aviation – 15/03/2019

Les gestionnaires d’aéroports Aena (Espagne), l’aéroport de Zurich et un consortium brésilien ont remporté vendredi les enchères des concessions de douze aéroports au Brésil, où le nouveau gouvernement a lancé son programme de privatisations, ont annoncé les autorités boursières.

Les aéroports avaient été répartis en trois lots. Les offres pour les douze terminaux ont totalisé 2,37 milliards de réais (549 millions d’euros), plus de dix fois la mise minimum pour ce premier test de la politique ultra-libérale du gouvernement de Jair Bolsonaro.

C’est Aena, numéro un mondial de la gestion d’aéroports, qui a remporté de haute lutte la gestion pour 30 ans de six terminaux dans le nord-est, le lot le plus convoité.

Les six aéroports, dont celui de Recife, ont eu en 2018 un total de 13,7 millions de passagers, soit 6,5% de la fréquentation totale des aéroports du Brésil, a précisé Aena dans un communiqué.

Le montant de la concession a atteint 1,9 milliard de reais brésiliens, soit environ 500 millions de dollars, après une augmentation de 1.010% par rapport à la mise initiale demandée.

L’aéroport de Zurich a enlevé le lot de deux concessions dans le sud-est – aéroports de Vitoria et Macae – pour 437 millions de réais, soit 830% de plus que la mise initiale requise.

Le consortium brésilien Aeroeste a obtenu la concession de quatre aéroports dans le centre-ouest pour 40 millions de réais, soit 4.729% de plus que la mise initiale demandée.

 

ADP : privatisation en vue et trafic en hausse

Air Journal – 15/03/2019

Les députés français ont de nouveau donné leur feu vert à la privatisation du groupe Aéroports de Paris (ADP), sans que l’on sache si tout ou partie du capital détenu par l’Etat sera vendu. Le trafic des plateformes parisiennes a progressé de 5,2% en février avec 7,3 millions de passagers.

En adoptant le 14 mars 2019 l’article 49 du projet de loi prévoyant de supprimer l’obligation pour l’État de détenir la majorité du capital d’ADP (50,63% aujourd’hui), l’Assemblée nationale a suivi la volonté du gouvernement de privatiser le gestionnaire des aéroports parisiens. L’Etat pourrait récolter 9,5 milliards d’euros en vendant toutes ses actions, alors que ses dividendes ont atteint 173 millions d’euros l’année dernière. Le ministre de l’Economie Bruno Le Maire a beau rappeler que la concession de 70 ans envisagée ne concerne que la privatisation ne concerne que « les activités commerciales, les parkings, les hôtels, les boutiques de luxe » qui représentent 74% du résultat d’ADP, le terrain comme « les décisions stratégiques » dont le contrôle des frontières ou le montant des taxes restant du ressort de l’Etat, l’opposition continue de dénoncer une vente des « bijoux de famille ».

Trois scénarios sont encore à l’étude : une vente à un seul acteur, une vente à des acteurs diversifiés ou une vente d’une partie seulement des actions de l’État. Parmi les candidats les plus sérieux au rachat des parts de l’Etat figure le groupe Vinci (Vinci Autoroutes, Vinci Concessions, Vinci Airports, etc.), déjà bien implanté dans le secteur aéroportuaire et actionnaire à 8% d’ADP. Thomas Juin, président de l’Union des aéroports français (UAF) soulignait hier dans La Tribune qu’en sortant d’ADP, l’Etat sera « d’autant mieux placé pour être un bon régulateur » en étant neutre, alors qu’il est régulièrement accusé de favoriser le groupe aux dépens des compagnies aériennes et des passagers pour améliorer sa rentabilité – et donc ses dividendes.

Rappelons qu’une autre privatisation d’aéroport, celle de Toulouse-Blagnac en avril 2015, connait quelques problèmes juridiques : le tribunal de commerce se prononcera le 22 mars sur la demande de mise sous séquestre des actions détenues par Casil Europe au capital d’ATB, les plaignants cherchant à bloquer la revente annoncée par l’actionnaire chinois de ses actions.

En février 2019, le trafic de Paris Aéroport est en hausse de 5,2% par rapport au mois de février 2018 avec 7,299 millions de passagers accueillis, dont 5,086 millions à Paris-Charles de Gaulle (+7,1%) et 2,212 millions à Paris-Orly (+1,1%). Le trafic France est en croissance de 3,7%, tandis que le trafic Europe (hors France) progresse de 4,5%. Le trafic international (hors Europe) est en hausse de +6,5% du fait d’une croissance sur les faisceaux suivants : Amérique du Nord (+13,0%), Amérique Latine (+8,6%), Afrique (+6,5%), Moyen-Orient (+4,0%), Asie-Pacifique (+3,8%) et DOM-COM (+2,1%). Le nombre de passagers en correspondance augmente de 10,5% en février par rapport à l’année dernière, le taux de correspondance de Paris Aéroport s’établissant à 23,8%, en hausse de 1,1 point.

Depuis le début de l’année, le trafic de Paris Aéroport est en progression de 3,5% avec un total de 15,041 millions de passagers. Le nombre de passagers en correspondance progresse de 7,0%, pour un taux de correspondance à 25,2%, en hausse de 0,8 point. Sur douze mois en trafic glissant, Paris Aéroport voit son trafic augmenter de 3,5% à 105,856 millions de passagers dont 72,72 millions à CDG (+4,1%) et 33,13 millions à Orly (+3,3%).

Le trafic de TAV Airports, dont le Groupe ADP détient 46,1% du capital, est en hausse de 6,4% au mois de février 2019 et de 4,8% depuis le début de l’année. Le trafic de l’aéroport de Santiago du Chili, dont le Groupe ADP détient 45% du capital, est en hausse de 8,3% au mois de février 2019 et de 9,6% depuis le début de l’année. Le trafic d’Amman, dont le Groupe ADP détient 51% du capital, est en hausse de 9,2 %  au mois de février 2019 et de 6,9 % depuis le début de l’année.

 

Brussels Airport : le trafic impacté par la grève nationale du 13 février 2019

Air Journal – 17/03/2019

Plus d’1,6 million de passagers ont franchi les portes de Brussels Airport en février 2019, soit une légère baisse de 0,5% par rapport au même mois l’année dernière.

« Une diminution due à la grève nationale du 13 février dernier qui avait empêché tout trafic aérien pendant 24 heures. Sans cela, le mois de février aurait connu une croissance, que ce soit au niveau des vols passagers ou des vols cargo« , explique la plateforme bruxelloise dans son communiqué.

Trafic passager
Au mois de février dernier, Brussels Airport a accueilli 1.640.893 passagers, soit une baisse de 0,5% (8.000 passagers) par rapport à février 2018. Ce résultat est fortement influencé négativement par la grève nationale du 13 février dernier qui a empêché tout trafic aérien en Belgique pendant 24 heures. Brussels Airport estime avoir perdu environ 60.000 passagers en raison de la grève.

Les passagers locaux diminuent de 0,7% par rapport à février 2018. Malgré la grève, le nombre de passagers en transfert a augmenté, lui, de 1,5%. Le segment long-courrier a progressé de 3%, grâce aux nouvelles destinations lancées en 2018, mais reste significativement en-dessous des mois précédents à cause de la grève nationale. Du côté des vols court-courriers, on note les plus fortes croissances chez Iberia, Aeroflot, Air Europa, Aegean et Air France.

 

SAS : une perte de 44,5 millions d’euros au premier trimestre

Air Journal – 17/03/2019

La compagnie aérienne scandinave SAS (Scandinavian Airlines System) a essuyé une perte nette de 469 millions de couronnes suédoises (44,5 millions d’euros) à l’issue du premier trimestre (novembre-janvier) de son exercice décalé, contre 249 millions un an plus tôt.

Cependant, son chiffre d’affaires a progressé de 6,2% à 9,5 milliards de couronnes. SAS a transporté plus de passagers par rapport au premier trimestre 2018 et son taux de remplissage a progressé de 0,5 point à 68,7%.

« Le premier trimestre est traditionnellement le trimestre le plus faible pour SAS, l’augmentation des pertes est conforme aux prévisions« , a déclaré le PDG de la compagnie Rickard Gustafson, cité dans le rapport trimestriel. Explique cette perte trimestrielle par le renchérissement du kérosène, la faiblesse de la couronne suédoise et l’inflation, le PDG annonce des perspectives optimistes : « la concurrence a fait baisser les prévisions [de la compagnie] en termes de capacité, ce qui pourrait conduire à une amélioration de l’offre, à un meilleur équilibre de la demande et à une stabilisation des prix« , à l’avenir. 

En avril dernier, SAS a commandé 50 Airbus A320neo supplémentaires en vue d’harmoniser sa flotte court et moyen-courrier qui ne comptera plus que ces appareils du constructeur européen à l’horizon 2023. Le compagnie scandinave ambitionne de disposer d’une flotte court et moyen-courrier totalement homogène en 2023, plus facile et moins chère à entretenir.

 

SWISS : bénéfice d’exploitation record en 2018

Air Journal – 17/03/2019

En 2018, la compagnie suisse Swiss International Air Lines (SWISS), filiale du groupe allemand Lufthansa, a enregistré un bénéfice d’exploitation de 636 millions de francs suisses (CHF), contre 548 millions en 2017, ce qui représente une augmentation de 16%.

Ce qui constitue aussi le meilleur résultat de l’histoire de la compagnie suisse depuis sa création en 2002. « Cet accroissement s’explique notamment par les investissements réalisés au profit de la flotte performante et de l’offre premium, la vigueur de l’économie, le succès des opérations de couverture sur le carburant et divers effets ponctuels… SWISS a pris un vaste ensemble de mesures pour accroître la fiabilité de ses opérations aériennes dans un contexte européen complexe« , annonce SWISS dans son communiqué.

Toujours en 2018, son chiffre d’affaires a progressé de 7 % pour atteindre 5,30 milliards de CHF, contre 4,95 milliards en 2017. Au cours de l’année, SWISS a transporté près de 18 millions de voyageurs, ce qui constitue un nouveau record en termes de passagers et de revenus. « Ce succès s’explique également par la mise en service d’avions modernes et performants : deux Boeing 777-300ER et 13 C Series supplémentaires ont rejoint sa flotte l’année dernière. Les investissements dans l’offre premium (notamment en faveur des salons aéroportuaires), la vigueur de l’économie, le succès des opérations de couverture sur le carburant et divers effets ponctuels y ont aussi contribué« , estime la compagnie, ajoutant que toutes les divisions de l’entreprise, notamment le fret et la base de Genève, ont largement contribué à la réussite de l’année 2018.

Perspectives 2019
Cette année, SWISS continuera à bénéficier d’une flotte d’avions modernes et économes en carburant. L’achèvement de la mise en service des 30 avions C Series (devenus Airbus A220-100 et A220-300) au cours de l’été 2019 intensifiera encore cet effet. En contrepartie, SWISS s’attend à des coûts plus élevés liés à la mise en service de deux Boeing 777-300ER supplémentaires et de l’Airbus A320neo, ainsi qu’à une baisse des bénéfices liés aux opérations de couverture du carburant. SWISS vise néanmoins une marge d’exploitation (BAII) à deux chiffres en 2019.

Par ailleurs, SWISS a mis au point le programme « Precise » pour éviter que la situation de l’été 2018, caractérisée par de nombreux retards et annulations de vols liés aux problèmes structurels de capacité en Europe, ne se reproduise. Ce programme consiste en un vaste ensemble de mesures et de projets d’investissement visant à accroître la fiabilité des opérations aériennes et à minimiser les conséquences négatives des irrégularités pour les passagers. Il s’agit, par exemple, de ressources en personnel supplémentaires, d’un plus grand nombre d’avions de réserve, ou encore de l’allongement du temps de stationnement aux escales.

« Le fait est que l’espace aérien et les aéroports en Europe sont à leurs limites et ne peuvent répondre aux besoins croissants de mobilité des populations. Ces problèmes structurels ne peuvent pas être résolus par nos seules initiatives. La politique doit également agir dans ce domaine« , souligne Thomas Klühr, CEO de SWISS.

 

Etihad Airways affiche une perte de 1,28 milliard de dollars en 2018

Air Journal – 16/03/2019

Etihad Airways a publié jeudi son bilan 2018, annonçant un chiffre d’affaires de 5,9 milliards de dollars, avec une perte nette de 1,28 milliard de dollars.

La compagnie basée à l’aéroport d’Abou Dhabi souligne toutefois qu’elle a réduit sa perte à 1,28 milliard de dollars en 2018 contre 1,52 milliard un an plus tôt. N’empêche, son chiffre d’affaires de 5,9 milliards de dollars en 2018 est bien inférieur à celui réalisé en 2015 qui avait atteint 9 milliards. Au cours de ces trois dernière années, elle a accumulé au total  4,67 milliards de dollars de pertes.

Créée en 2003 par le gouvernement du riche émirat d’Abou Dhabi, Etihad Airways doit faire face à la rude concurrence de compagnies régionales telles que Emirates, basée à Dubaï et Qatar Airways, dont le siège est à Doha. Surtout, elle a investi massivement dans des transporteurs dans le monde, dont Alitalia, Air Berlin, Air Seychelles, Virgin Australia et Jet Airways. Des investissements qui ont contribué à ses difficultés financières, avec Air Berlin qui a arrêté ses activités en 2017, et Alitalia et Jet Airways actuellement au bord de la faillite.

Ayant adopté un plan de restructuration en 2017, Etihad Airways a négocié avec les avionneurs Airbus et Boeing pour annuler des dizaines de commandes d’appareils. A la mi-février, elle a indiqué qu’elle « va maintenir la commande de cinq A350-1000, 26 A321neo et de six B777-9 à livrer dans les prochaines années« . Pour Airbus, cela signifierait cinq A321neo en moins (dix ont déjà été annulés l’année dernière), dix A350-1000 en moins et l’annulation des 42 A350-900. Pour Boeing, ce serait donc onze  777-9 en moins sur les 17 commandés et l’annulation des 8 777-8.

 

Aigle Azur renforce le long-courrier, optimise son réseau

Air Journal – 15/03/2019

Quelques mois après le lancement des deux premières routes long-courriers de son histoire, la compagnie aérienne Aigle Azur affiche le meilleur taux de ponctualité jamais atteint et annonce le renforcement et l’optimisation de son réseau long-courrier, Pékin étant suspendue quelques semaines au printemps le temps de modifier les horaires, tandis que Sao Paulo sera renforcée. Elle va en outre poursuivre le développement de son activité historique en court et moyen-courrier, sur des routes opérées à l’année

A compter du mois de mai 2019 sous réserve d’approbation des autorités compétentes, la compagnie française prévoit la réorganisation de sa desserte de Pékin, inaugurée l’an dernier, afin d’améliorer les connexions avec le réseau de et vers la capitale chinoise de son partenaire Hainan Airlines. Dans l’attente des dernières autorisations nécessaires (dont celle de la CAAC – Civil Aviation Administration of China), Aigle Azur prévoit ainsi de continuer à opérer ses 3 vols par semaine entre l’aéroport de Paris-Orly et Pékin, mais à de nouveaux horaires qui seront communiqués dès la confirmation de l’obtention de nouveaux slots de décollage au départ de Pékin. Elle va donc poursuivre ses opérations actuelles vers Pékin jusqu’à la fin du mois de mars 2019, puis la desserte sera suspendue quelques semaines, avant une reprise des 3 rotations hebdomadaires directs depuis Paris-Orly avec de nouveaux horaires et de nouvelles connexions, ce dès le mois de mai 2019.

Aigle Azur souhaite en même temps renforcer son partenariat avec son partenaire chinois, ce qui permettra la mise en œuvre des meilleures connexions vers les villes principales de Chine que sont Shanghai, Canton, Kunming, Wuhan, Wenzhou, Haikou ou encore Fuzhou. Aigle Azur appliquera aussi, sous réserve d’approbations gouvernementales, son code ZI sur tous les vols déjà opérés par Hainan Airlines au départ de Paris à destination de Shenzhen et de Chongqing en Chine, en plus du partage de code déjà existant depuis longtemps sur son vol à destination de Xi’an (tous ces vols de Hainan Airlines étant opérés depuis Paris-CDG).

En parallèle, ces nouveaux horaires vers Pékin permettront d’assurer un plus grand nombre de vols de connexion depuis/vers le Portugal avec les vols d’Aigle Azur et de son partenaire TAP Air Portugal via Orly, toujours à partir de la mi-mai. L’aller simple Paris-Pékin est actuellement disponible à partir de 219€ TTC.

Au Brésil, « forte de l’immense succès » rencontré sur cette ligne depuis son lancement le 5 juillet 2018 (avec un taux de remplissage moyen d’environ 90% depuis le début des vols), Aigle Azur est heureuse d’annoncer l’augmentation du nombre de ses vols directs entre Paris-Orly et Sao Paulo-Campinas, avec un passage de 4 à 5 fréquences hebdomadaires à compter du 1er avril 2019. Les vols seront toujours opérés en partenariat avec Azul, les mardis, jeudis, vendredis, samedis et dimanches, à un horaire désormais aligné toute la semaine : départ de Paris-Orly à 10h15 – Arrivée à Sao Paulo à 17h15, et départ de Sao Paulo à 19h15 – Arrivée à Paris-Orly à 11h45 (J+1). L’aller simple Paris-Sao Paulo est actuellement disponible à partir de 229€ TTC.

Ces vols permettent également aux passagers de bénéficier de connexions vers Alger, Oran, Moscou et Kiev au départ de Paris-Orly, et vers tout le réseau d’Azul au Brésil (plus de 100 destinations) via Sao Paulo-Campinas.

Comme déjà annoncé par Frantz Yvelin, Président d’Aigle Azur, à Bamako en janvier dernier, la desserte Paris-Orly / Bamako passera de 3 à 4 fréquences par semaine à compter de l’été. Dans le cadre de son partenariat avec Corsair, la desserte sera quotidienne (3 fréquences par semaine pour Corsair dès le mois de juin 2019 et 4 fréquences par semaine pour Aigle Azur, tous ces vols étant opérés en A330). L’accord de partage de code déjà existant pour cette route entre les deux principaux acteurs de la plateforme de Paris-Orly, est parallèlement élargi à la classe affaires, afin de répondre aux attentes de tous nos clients, en particulier des sociétés.

Frantz Yvelin, Président d’Aigle Azur, déclare dans un communiqué : « Dans un contexte particulièrement difficile pour l’ensemble du secteur aérien européen et d’une conclusion décevante des Assises du transport aérien, c’est avec une très grande fierté que nous annonçons toutes ces nouveautés moins d’un an après le lancement de notre tout premier vol long-courrier (vers Sao Paulo) et l’introduction de nos premiers Airbus A330. Je remercie toutes les équipes d’Aigle Azur qui continuent d’écrire l’histoire de la compagnie, en consolidant nos lignes historiques et en allant en même temps chercher de nouveaux leviers de croissance en Europe, mais aussi en Chine et au Brésil où nous souhaitons jouer un rôle significatif. Nous avons enregistré d’excellents premiers résultats et soutiens de la part de nos clients sur toutes nos opérations long-courriers, et avons de grandes ambitions pour la suite, en particulier une stratégie d’expansion permettant de soutenir notre développement et d’offrir aussi une expérience de voyage de très grande qualité à tous nos passagers qui demeurent au cœur de nos priorités quotidiennes ».

Le dirigeant ajoute : « notre croissance s’effectue évidemment dans le plein respect de notre longue présence en Algérie, en Afrique, sur le pourtour méditerranéen et au Portugal. Nous souhaitons aller toujours plus loin, en recherchant les meilleures connexions possibles et en s’associant avec des partenaires fiables et ancrés dans leurs territoires et leurs marchés respectifs, tout en assurant à nos clients une expérience de voyage toujours meilleure. Enfin et surtout, nous avons significativement amélioré notre taux de ponctualité jusqu’à nous placer désormais parmi les meilleurs, et atteindre près de 80% de ponctualité moyenne à 15 minutes sur tout le réseau le mois dernier, avec une régularité de plus de 99% sur l’ensemble du réseau en 2018 (ce qui fait par exemple d’Aigle Azur aujourd’hui l’une des compagnies les plus ponctuelles sur l’aéroport de Paris-Orly). Tout ceci est un succès à mettre au crédit de nos équipes, au bénéfice de nos clients ».